Nex Necis
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 « Après-midi d'ivresse - By Lily&Zeke . »

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2 participants
AuteurMessage
Lily McStow
Enseignante de DCFM & Directrice des Serpentard
Lily McStow


Messages : 114
Date d'inscription : 15/05/2009

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MessageSujet: « Après-midi d'ivresse - By Lily&Zeke . »   « Après-midi d'ivresse - By Lily&Zeke . » EmptyJeu 9 Juil - 15:45

« Après-midi d'ivresse - By Lily&Zeke . » BT*xJmx*PTEyNDcxMzU5MDM3MzQmcHQ9MTI*NzEzNTk*NTYyNSZwPTE4MDMxJmQ9Jmc9MSZ*PSZvPTVmNTlmYmI1ZjNjNDRjMWZhYTI*YmM4NWMyYjY4NGEw


7h00 AM, London.

J’étais assise, seule, sur mon lit. Robert venait de partir, et on n’avait pas dormi de la nuit. Je réfléchissais. C’était le premier Septembre, et, dans quatre heures, j’allais pouvoir m’assoupir dans l’immense compartiment du Poudlard Express réservé aux professeurs. Je soupirai, le visage dans les mains. J’adorais mon métier, mais c’était toujours la même chose. Elèves, punitions, Optimal, professeurs, cours, corrections, examens, repos. Mon métier comptait beaucoup pour moi, c’était un fait certain, mais je trouvais ma vie de plus en plus monotone et cela commençait à me déranger grandement. Durant l’année scolaire, je m’ennuyais, humainement parlant, mais, au niveau de l’occupation, c’était parfait. Durant les deux mois de vacances, je sortais, je rentrais tous les soirs avec un gars différents, et je m’amusais. Durant toutes les vacances, jusqu’à hier. J’avais eut une prise de conscience énorme. Ma vie était celle d’une moldue de seize ans. Je bossais durant l’année, et je me dévergondais grandement durant les vacances. J’avais vu des amies de mon âge qui, elles, attendaient leurs premiers enfants, avec un mari ou un petit-copain, qui avaient toutes une vie stable. Moi, c’était le contraire. Ma vie, c’était mon boulot, une vie de célibataire endurcie. Pitoyable. Je poussai à nouveau un profond soupir et me redressa. Je devais commencer à me préparer, ou sinon je n’allais jamais être prête à 10h55 pour transplaner. Je me dirigeai vers ma salle de bain et, retirant mon pantalon de training noir et mon débardeur grisâtre, je filai sous la douche, me relaxant sous les gouttes d’eau chaude. Quarante-trois minutes plus tard, je sortis et m’enveloppa dans une serviette éponge noire, et tordis mes cheveux au-dessus de ma baignoire. Les laissant pendre par-dessus mon essuie, j’entrepris d’entrer dans ma chambre afin de pouvoir choisir des vêtements où je pourrais être à l’aise, pour pouvoir dormir tranquillement sur la banquette. J’optais pour un short blanc, contrastant fortement avec mes jambes bronzées de mon voyage en Italie, avec un haut rose, serrant sur la poitrine et s’élargissant après celle-ci. Le tout accompagnés de talons aiguille blanc. Je pris ma baguette magique qui trainait au fond de mon armoire à sous-vêtements (l’endroit où mes multiples conquêtes n’iraient certainement pas), et faisant un geste sec de la main droite, je regardai mes cheveux se sécher tout seul.

« - J’adore la magie... murmurais-je en regardant mes cheveux.

Ils étaient ondulés à souhait, juste comme j’aimais. Parfait. Je me souris à moi-même et sorti ma trousse à make-up. Une fois le tout fini, je me rendis compte qu’il ne me restait plus que deux heures trente. Je grognai et me dirigeai vers la fenêtre : il y avait du soleil, et, regardant mon thermomètre, me rendit compte qu’il faisait chaud pour notre froid pays : 24°C. Je souris et, enfilant un foulard blanc ainsi que des jolies lunettes de soleil noires, je sorti de ma maison. L’air n’était pas frais, il faisait même fort lourd, comparer à l’heure matinale qu’il était, environ 8h40. Je me dirigeai lentement vers la petite barrière qui séparait ma petite propriété de la rue. Une fois passé celle-ci, je regardai dans les alentour et me dirigeai vers le petit parc qui servait de rond-point autour de la cité. Celui-ci était vide, et je me permis donc de transplaner.

8h47 AM, Barcelona.

J’avais bien fait de m’habiller aussi léger. Ici, malgré l’heure matinale, les températures devaient avoisiner les trente degrés. Quel pays. J’étais dans les bois avoisinant une plage déjà bondée - des fous, ces Espagnols. Je sorti de la moiteur des forêts, et vint me coucher sur la plage, à côté de ma mère.

« - Je savais que je te trouverais là, dis-je.

« - Tout le monde à droit à des vacances bien méritée !me dit-elle en souriant.

« - En effet, renchéris-je.

« - Tu compte rester ainsi ? demanda-t-elle en me montrant son beau maillot blanc.

« - Le train démarre à 11h00. Je dois partir à 10h55. Mais, tu as raison.

Je retirai mon short, mon foulard ainsi que mon haut, ayant déjà enlevé mes hautes chaussures au préalable. J’étais bien, ainsi, couchée à même le sable, avec mon bikini rouge. J’allais bronzer encore un peu plus, c’était trop bien. J’allais peut-être garder mon bronzage un petit temps. Enfin, après tout, la magie ça n’existait pas pour faire joli ! Nous parlâmes ensemble durant deux bonnes heures, se mouillant de temps en temps dans la mer Méditerranée, et, vers 10h, ma mère se leva et s’en alla.

« - Okay... Salut ! dis-je, interloquée.

Cependant, elle revint quelques minutes plus tard avec des croissants et des couques au chocolat. Je la remerciai et nous continuâmes notre conversation inintéressante, jusqu’à ce qu’elle arrive au point sensible du moment.

« - Eh bien, ma petite Lily... Comment vont les amours ?

« - Heu... Ca va, ça va...

« - Quand me présentes-tu ton amoureux ? Aux prochaines vacances, tu as intérêt à m’en ramener un, si tu ne le fais pas, je t’en trouverai un, et tu n’auras pas le choix !

« - Mais..

« - Non, Lily ! C’est comme ça ! Ton père et mois voulons que tu aies quelqu’un de bien, et si tu n’es pas capable de t’en trouver un toi-même, on le fera, que tu le veuilles ou non !

Ca, c’était ma mère. Autant elle pouvait être aimante et dévouée, autant elle pouvait être stricte, voir tyrannique. Et lorsque l’on regardait son regard, on ne pouvait se dire qu’une chose : Ramènes un type les vacances prochaines, ou t’es morte. Je changeai rapidement de sujet, jusqu’à ce que je remarque qu’il était déjà onze heures moins le quart. Je n’étais pas vraiment pressée, mais je sentais que si je restais aplatie encore longtemps, j’allais finir telle une écrevisse. Je me redressai et, prenant congé, me dirigea vers la forêt longeant la plage de sable chaud. Adressant un dernier signe de la main à ma mère, je m’enfonçai un petit peu dans l’humidité des arbres et, posant une dernière fois mon regard sur le magnifique paysage qui s’offrait à moi, je transplanai jusqu’à la gare King’s Cross.


10h53 AM, King’s Cross.

J’arrivai à la gare avec sept minutes d’avance, juste assez pour pouvoir monter dans le train et me diriger vers le compartiment réservé aux personnages comme moi. Enfin, aux profs quoi. J’entrai dans celui-ci et remarqua que j’étais seule. Génial. Enfin, ça n’allait pas tarder à arriver. Je me mis sur un fauteuil et regardai le bout de la pièce. Il avait été agrandi de façon magique et j’étais toujours en admiration devant celui-ci. Il y avait de tout. Du restaurant au bar, à la salle-de-bain au toilettes, de la chambre à couché au salon. Bref, c’était un mini appartement. J’attendais patiemment, prenant un verre par-ci, un verre par-là. Ca passait du verre d’eau à la vodka, du gin ou verre de vin. Je ne me rendais même pas compte de ce que je buvais, et les Elfes de Maison qui servaient de me disaient rien, A part « S’il vous plaît, Mrs. », « Autre chose, Mrs ? », et ainsi de suite. J’en étais à mon cinquième verre lorsque je remarquai que le train n’avait même pas encore démarré. Je les engloutissais donc aussi rapidement ? Tant pis, je commençais à oublier, et c’était le but principal. J’enchainais, encore et encore, lorsque je vis que le train venait juste de démarrer. Je me mis à rire bêtement, et attendis. Je ne sais pas ce que j’attendais, mais j’attendais.

11H13 in the train.

J’étais, à présent, accoudée au bar et les Elfes de Maison resservaient mon verre à chaque fois que celui-ci se vidait. Je leur souriais et, d’une voix un peu aigue, demanda :

« - Ils sont où, les autres ?

« - Ils font des rondes, Mrs. Avec les évènements de cet été, les gens s’inquiètent, et on demandé à certains professeurs de tourner durant le voyage.

« - Hum. Super !

« - Mais vous ne serez pas seule, Mrs, le professeur Rosenwald devrait arriver, lui et vous n’aviez pas de ronde à faire, pour qu’il y ait au moins deux personnes toujours disponibles au cas où, Mrs.

« - Ah. Génial. J’ai toujours de la chance, moi.

Il fallait absolument que ça tombe sur moi. Ou sur lui. Je ne le supportais pas, ce Zeke. Il était arrogant, il se pavanait toujours devant les filles – et les gars, si j’étais bien au courant ! – et se croyait toujours pour ce qu’il n’était pas, c’est-à-dire beau, fort et trop doué. Ok, il était beau. Sex. Sexy. Pas mal. Bref, il avait un corps... plutôt appétissant, mais son caractère n’en restait pas pourtant invivable ! Je poussai à nouveau un grand soupir et bu mon alcool d’un trait – je ne savais même plus ce que c’était. Je commençais à me sentir heureuse, sans soucis, un peu comme si tout c’était envolé – momentanément. Je me mis à chanté, comme une débile, et me mis à dansé langoureusement, seule, au milieu du wagon.

Je ne l’entendis pas - j’avais mis la musique à fond - mais la porte coulissante venait de s’ouvrir, laissant apparaître l’autre professeur. Je ne m’arrêtai pas, ne m’étant rendue compte de rien, et continuai de danser comme en boîte de nuit, sauf que je n’avais pas de garçon collé à moi.
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Zeke T. Rosenwald
Broum, même Buzz l'Éclair est pas plus rapide que moi dans les airs
Zeke T. Rosenwald


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MessageSujet: Re: « Après-midi d'ivresse - By Lily&Zeke . »   « Après-midi d'ivresse - By Lily&Zeke . » EmptyLun 13 Juil - 17:41

    flash back ; on

    On était le matin du premier septembre, le jour de la rentré, à Poudlard, et, pour une fois, Zeke s'était réveillé tôt. En effet, alors que, comme tous les jours de vacances, dix heures et quart, il faisait la grasse matinée, en plein mouvement rotatif ayant pour but de libérer son visage étouffé par son oreiller, sa couverture étendue très, très, négligemment sur son corps vêtu d'un vieux tee-shirt Motorhead & d'un caleçon gris délavé aux motifs Bart Simpson lui avait été sèchement arraché. Petit retour en arrière.

      ANDREA – « Allez, debout fénéant ! »
      ZEKE – « ... Hmmegneuumm... »

    Une grognement endormi. C'est tout ce qu'Andrea Rosenwald réussit à obtenir. Elle lança un regard où l'amusement se disputait avec la perplexité et le sadisme à son cousin. Elle ne s'était pas levée plus tôt qu'il ne l'aurait fallut et n'avait pas transplané pour ça ! Elle avait même forcer deux de leurs amis londoniens moldus à l'accompagner. Pas question de repartir bredouille ! Sans crier gare, elle se jeta à terre, accroupie juste au niveau du visage de Zeke et, doucement, très doucement, approcha sa bouche de son oreille. Retenant un fou rire en pensant à sa blague, elle souffla dans le lobe de l'oreille de son cousin. Le résultat ne fut pas très concluant. Le jeune homme se retourna à nouveau sur son lit, se retrouvant à présent sur le lit, une main pendant dans le vide, à quelques centimètres du sol, les jambes légèrement écartées & le deuxième bras à la vertical, collé contre le mur. Lorsque Andrea soupira, ce fut le signal. La jeune fille et ses amis, Pete & July, éclatèrent d'un rire puissant et sonore. La première à se ressaisir fut July. La jeune fille sortit de la pièce en ronchonnant, bien que le léger sourire amusé figé sur ses lèvres démentait sa mauvaise humeur feinte. Lorsqu'elle revint, un verre remplit d'eau en main, l'endormi n'avait pas bougé d'un poil.

      JULY – « Essaie avec ça. »
      ANDREA – « Non.. Oserais-je ? »
      JULY – « Allez, on a pas que ça à faire, votre train part dans quarante-cinq minutes. »

    Les dernières paroles de son amie semblèrent avoir l'effet d'un électrochoc sur Andrea, car, déterminée, elle saisit le verre d'eau et sans pitié, le renversa sur le visage de Zeke... Qui se réveilla en sursaut et se redressa en hurlant.

      ZEKE – « HAAAAAAA ! LA PLANÈTE VENUS EST PASSÉE À L'ATTAAAAAAQUE ! »

    Andrea était tombée à la renverse, adossée au mur, pleurant littéralement sous l'effet de l'amusement, Pete s'était laissé tombé sur le lit, au pieds de son ami et se tenait le ventre tandis que July avait plongé son visage trempé de larmes de rire dans ses bras croisés sur l'appui de fenêtre de l'appartement du jeune professeur. Zeke, reprenant ses esprits, se mit à ronchonner, s'essuyant le visage avec son tee shirt.

      ZEKE – « Hé ! Non mais vous êtes complètement barés, bordel ! »
      ANDREA – « Désolée, cousin, on voulait pas te déranger dans ton passionnant rêve ! »

    Zeke se renfrogna et ferma les yeux, portant sa main sur le front. Il grogna. À taton, il chercha son réveil, sur la pile de bouquins, CD et autres objets insolites constituant une véritable brocante à côté de son lit. Il propulsa son téléphone portable au sol mais finit, après cinq bonnes secondes, à mettre la main sur le radio réveil. D'un air hésitant, comme si il avait peur de ce qu'il allait voir, il ouvrit un œil qu'il posa sur les diodes rouges du réveil.

      ZEKE – « Vous avez vu l'heure ?! Mais vous me faites perdre deux heures de sommeil, bandes de terroristes ! »
      PETE – « Bla, bla bla. Arrête de papoter et lève-toi ! C'est la rentrée dans votre école privée, aujourd'hui, pas question que tu manques ça ! »
      ANDREA – « C'est vraiment bizarre de t'entendre dire ça, Pete. »
      PETE – « Tu dis ça comme si j'étais indifférent à l'importance de l'éducation dans la vie des gens. »

    Pete, vexé, continua de se chamailler avec Andrea, tandis que July, arborant un sourire moqueur, cherchait des vêtements corrects dans l'armoire de Zeke. Ce dernier s'était assit convenablement sur son lit, les pieds au sol. Baillant et frissonnant, il s'étira avant de se lever, non sans avoir lancer auparavant un regard fanatique à son matelas. July se redressa, une pile de vêtements dans les mains, et lança lesdits habits sur Zeke qui, devenu beaucoup plus habile grâce à son travail de professeur de vol, n'eut aucun mal à les rattraper tous en même temps.

      JULY – « Tiens. Tu te douches, te sappe & on se rejoint en bas. »

    Zeke regarda ses trois amis sortir de sa chambre avec un regard incrédule. Il finit par hausser les épaules, l'air désabusé et se traîna jusqu'à la salle de bain. Il alluma la douche, enleva son pyjama qu'il roula en boule dans un coin et entreprit de se réveiller avec l'eau chaude. Après seulement cinq minutes, il sortit, mit ses sappes propres et se brossa vite fait les dents. Il enfila ses baskets de ville à la hâte, se passe une main dans les cheveux et sortit de la pièce en claquant la porte. Il avait passé moins de cinq minutes dans la salle de bain. Il retourna dans sa chambre, sortit sa baguette magique de la poche d'une robe de sorcier qui était roulée en boule sur le bureau, l'agita et sa valise se boucla d'elle-même. Il finit par descendre les escaliers quatre à quatre et déboula dans la cuisine.

      ZEKE – « On peut y aller ! »

    Les quatre jeunes gens sortirent de l'appartement Rosenwald et se dirigèrent vers la gare de King's Cross en bavardant joyeusement.

    flash back ; off

    Zeke, au final, était arrivé avec environ dix minutes d'avance – fichu Pete, toujours trop stressé. Il était donc allé déposé sa valise dans le compartiment réservé aux professeurs, remarquant au passage qu'il avait encore été agrandit, mais, constatant qu'aucun de ses collègues n'étaient encore arrivés, il retourna dans le couloir. Donc, durant une vingtaine de minutes, il avait accompagné sa cousine dans son compartiment. Une demi-douzaine de ses amies y étaient déjà assises et, se sentant de trop – malgré les regards furtifs que lui lançaient parfois les élèves –, le jeune homme avait finit par s'éclipser.

    Lorsqu'il arriva enfin au compartiment réservé aux professeurs, qu'il avait quitté depuis presque une demi-heure, il passa la porte, en baillant. Il ne l'avait pas entendu, depuis le couloir, c'est pourquoi la musique, que quelqu'un semblait avoir mit à fond, lui transperça les tympans. Il sursauta et redressa le visage. Il jeta des coups d'yeux autour de lui, jusqu'à ce que son regard tombe sur une femme à la peau matte et aux cheveux foncés. Il écarquilla les yeux en reconnaissant sa collègue – et pas celle qu'il préférait, d'ailleurs – Lily McStow. Il avait beau ne pas l'aimer – en effet, Zeke avait toujours éprouver de l'indifférence, sinon du dédain pour cette femme, qu'il trouvait trop sûre d'elle – il ne pu s'empêcher de sourire en la voyant ainsi. Lâchée, habillée en moldue, se trémoussant sur le rythme de la musique. Son regard se tourna presque automatiquement vers le bar. Il avait l'habitude de voir ce genre d'attitude, dans les boites de nuit moldues. Était-elle bourrée ? En voyant le nombre de verres qui reposaient sur le bar, il en conclut que oui.

      ZEKE – « Mmmh ... Salut, Lily. »

    Il battit des paupières, se demandant vaguement s'il rêvait. Il décida alors de ne rien faire de plus. Tentant d'ignorer les déhanchements – il n'y réussit qu'à moitié ; le professeur McStow était très jolie, il ne pouvait le nier – il s'approcha du « salon », enleva sa fine veste de couleur noire qu'il laissa sur un des divans. Il s'était vêtu d'une chemise blanche aux manches retroussées et aux pans pendant par-dessus son jean bleu foncé légèrement trop long qui retombait sur ses converses noires. Il avait également passé une cravate noire et unie autour du col de sa chemise, qui était nouée très, très négligemment. (cf Kid Cudi in Day'n'Night) Une fois débarrassé, il se dirigea vers le bar, s'assit sur un tabouret, un pied sur « l'accoudepied », un pied à terre, et commanda un whisky pur feu.

    Il tourna la tête en même temps qu'il entendit un petit « Tout de suite, Monsieur ». Il détailla la pièce d'un regard neutre, les lèvres formant un très mince sourire. Quelques secondes plus tard, il entendit un petit choc sur le bar et, sans vraiment faire attention, il saisit son verre de whisky dont il but dix grosses gorgées d'un trait. Il expira longuement en reposant son verre, qu'il garda serré entre ses doigts, sur le bar. À nouveau, il tourna le regard vers sa collègue, qui le regardait, à présent. Il ne sut dire depuis combien de temps ses yeux étaient tournés vers lui. Il eu une très légère grimace, puis, politesse oblige, demanda :

      ZEKE – « Alors, passé de bonnes vacances ? »


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