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| | Paf. T'en reveux ? « SPENCER J. » |  |
| | | Auteur | Message |
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Tharcisse G. Bolheyn
Admin & Étudiant de Serdaigle
Messages : 269
Date d'inscription : 07/05/2009
Age : 30
Feuille de personnage
Célébrité Choisie: Gaspard Ulliel, c'est évident (a).
Animal de Compagnie: Une chouette brune aux reflets roux prénommée Jade.
Origine Sanguine: Sang mêlé.
| | Sujet: Paf. T'en reveux ? « SPENCER J. » Dim 31 Mai - 1:02 | |
| Tharcisse ouvrit les yeux. Des yeux qui étaient bleus et cernés d'un noir mêlé à du violet. Le jeune adolescent était fatigué. La veille avait été la rentrée des classes et cette année encore, les élèves les plus fêtards de Serdaigle s'étaient réunis dans la salle commune de leur maison, après la cérémonie de répartition, afin de commencer cette nouvelle année comme il se doit. Au programme, il y avait bien évidemment des cigarettes ainsi que de l'alcool. Et puis, après tout, une fête sans ces deux produits très nocifs pour la santé, ce n'est pas une fête. D'autant plus que c'est tellement bon. Enfin bref, comme vous vous en doutez sûrement, la soirée fut on ne peut faire plus arrosée.
_ flash back ;_
« Tharcisse, vas-y ! Tharcisse, vas-y ! Tharcisse vas-y ! »
« Eh Morgane, t'es sûre qu'on met pas vas-y devant Tharcisse ? Tu sais, genre : vas-y Tharcisse ! »
« Je suis bourrée alors, on s'en contrefiche. Tharcisse, vas-y ! »
Quelle vélane peroxydée cette Morgane. Elle était à Serdaigle mais n'avait pas de cerveau. De plus, elle ne pensait qu'à trois choses : les clopes, l'alcool et le sexe, évidemment. Le bon truc pour te foutre dans les vapes pendant plus de deux heures. Enfin bref, Tharcisse et cette fameuse Morgane jouaient à un jeu de cons. Les règles étaient simples : l'élève qui buvait le plus de Vodka Pur Feu et de Bière au Beurre tout au long de la soirée gagnait. Ce fut donc pour cela que l'adolescente donnait autant de sa voix. Elle voulait que Tharcisse perde. Mais, nul ne sait pourquoi, elle l'encourageait. De toute façon, tout le monde sait, à Serdaigle, que Morgane est conne. Et puis, de toute manière, elle a des cheveux clairs. En d'autres thermes : elle est blonde à quelques racines près.
Enfin bref, ce fut en quelques secondes que Tharcisse avala, littéralement, trois verres pleins de Vodka Pur Feu. Il ne lui manquait donc plus qu'une chose pour que cela puisse passer correctement dans son estomac. Une cigarette. Longue de préférence, de façon à ce que le plaisir de fumer soit bien plus long qu'il ne le serait avec une clope courte.
« Et voilà. Mesdames et messieurs, veuillez admirer. »
« Bourré, t'es bourré. Bourré, tu l'es. »
« Tu sais Morgane, vu que je suis bourré, je vais profiter de ce moment pour te dire un ou deux mots. Bref, voilà : Taggle. »
« Tu as osé ? »
« Héhé Mémé, tu croyais quoi ? Que j'allais me gêner peut-être ? »
_ fin du flash back ;_
Voilà donc comment s'était passée la soirée. Cigarettes, Alcool et Insultes, tout y était passé. Et maintenant, Tharcisse Gaspard avait la gueule de bois. Ça lui apprendra à ce petit con. Après tout, la nuit, c'est fait pour dormir et non pas pour se défoncer avec des potes.
Enfin bref, revenons à nos petits moutons du matin. En plus d'avoir la gueule de bois, Tharcisse empestait également l'alcool. Lorsque l'adolescent le remarqua, il sortit de son lit à baldaquin et se rendit dans les douches des garçons de sixième année à Serdaigle. Là-bas, il s'y brossa les dents et prit une douche qui dissipa quelque peu les mauvaises odeurs de tabac et d'alcool. Puis, le jeune sorcier âgé de seize ans se rendit à nouveau dans son dortoir, une serviette autour de son bassin. Il s'empressa de s'habiller avec les premières fringues qui lui passaient sous le nez, soit un jean noir, une chemise blanche, une cravate aux couleurs bleu et bronze, ainsi qu'une cape. En fait, ces fringues-là n'étaient autre que ceux de la veille que le jeune adolescent avait laissé près de son lit avant d'aller se coucher. Une fois complètement habillé, le jeune garçon prit un de ses sac dans lequel il y installa une plume d'aigle, de l'encre et un long parchemin jauni. Même s'il ne comptait pas s'en servir, on ne sait jamais. Tharcisse descendit quelques étages, de façon à se rendre dans la bibliothèque, lieu reposant et silencieux. Il était sept heures du matin et le royaume aux livres était vide. Les seules personnes le parcourant n'étaient autre que Tharcisse et la bibliothécaire. Le jeune garçon s'était toujours demandé si cette femme avait un autre passe-temps que la lecture. Après tout, peut-être que sortir de son univers lui ferait un bien fou, qui sait.
Le jeune homme se rendit dans les rayons de la bibliothèque et prit un livre au hasard. Il n'en recherchait pas vraiment un donc bon, à quoi bon passer une trentaine de minutes à choisir ? Puis Gaspard de son second prénom se rendit vers le fond de la bibliothèque, près de là où se situait la réserve. Il choisit une table avant de poser ses fesses sur une chaise. Une fois correctement installé, Tharcisse posa son sac sur la chaise se trouvant à quelques centimètres de lui. Il s'apprêtait à ouvrir son livre qui n'avait pas du tout l'air passionnant lorsqu'il reçut un coup sur la tête. Il ne put s'empêcher de pousser un cri léger.
« Hé, mais ça va pas ? »
HJ » Navré, j'avais pas vraiment d'inspiration '-'. | |
| | | | Jerichow R. Spencer
Étudiant de Serpentard
Messages : 76
Date d'inscription : 18/05/2009
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Célébrité Choisie: Kaya Scodelario
Animal de Compagnie: Charlie Le Chat aux poils blancs et hirsutes.
Origine Sanguine: Sang moldu
| | Sujet: Re: Paf. T'en reveux ? « SPENCER J. » Lun 1 Juin - 17:09 | |
| « Dis dis, je voulais te dire quelque chose ! »
« Qu’est-ce que tu veux me dire le mioche ? »
« Bah… Je t’aime… »
« HEIN ? ! Tu fumes à ton âge ? Aller lâche moi, gamin… »
« Roh mais nan, restes avec moi ! »
« Nan mais t’as du cran pour un minus toi, t’es arrivé depuis hier et tu te fais déjà des films ? »
« Comment tu t’appels ? »
« T’écoutes ce que je te dis ? »
« Tu m’embrasses ? »
« Stupéfix… Ah, le calme… »
Et voilà le bref résumé de ma soirée d'hier. Magnifique n'est-ce pas ? Je l'ai passé à me harceler par un mioche que je finis par stupéfixer, ce que je n'ai pas fait assez tôt soit disant passant, car sachez que avant ce dialogue, il m'a collé au basque sans oser me parler. Nan mais genre le gamin il est arrivé dans la soirée et croit tomber amoureux de quelqu'un, ah, mais je suis vraiment dégoutée, j'aurais honte pour lui, et j'espère également pour lui qu'il ne me croise pas dans les jours qui viennent sinon il va s'en prendre une. Bon, eh bien forcément, je dois avouer que le reste de la soirée fut assez calme, j'avais réussis à piquer une bouteille de vodka pure feu, un paquet de cigarette et je m'en étais allé dans les dortoirs pour profiter de tout cela.
Maintenant, je déambulais en vue de la bibliothèque, Charlie trottinant derrière moi. De fines cernes autour des yeux, mes cheveux détachés et emmêlés, je n'avais pas mis ma capte, et je n'avais même pas attaché ma cravate, chaque bout pendait de chaque côté. Mes yeux étaient d'un bleu foncé et opaque, fixant l'air complètement ailleurs un point invisible juste devant moi. J'avais les mains dans les poches, mon sac en bandoulière pendant négligemment sur mon épaule. De nous deux, c'était Charlie qui semblait le moins dans la lune, vraiment, il miaulait, partait en courant sans prévenir, me dépassant, et freinant d'un coup en sortant ses griffes sur le sol (Ce qui avait tendance à produire un son peu agréable), d'autre fois il me crachait dessus pour une raison inconnue. Enfin bon, je vous laisse imaginer que moi, à c^té de lui, j'avais la tête rentré dans les épaules, et je tirais une tête de détérée. Mais pourquoi ?! Oh oui, pourquoi je m'étais levée si tôt alors ? Parce que j'en avais tout simplement marre des pipelettes dans la chambre, je suis tombée sur deux bécasses qui n'arrêtent pas de blablater à tout va... Et donc, je ne pouvais que m'enfuir, ne supportant plus de savoir comment avait réagi machin quand truc l'avait embrassé. Je n'en avais que faire de toutes ses rumeurs où je ne sais quoi, elles ne peuvent pas réfléchir et se dire qu'elles ne sont pas seules dans les dortoirs ? J'ai décidé de me calmer un peu sur mon cota de personne stupéfixer, j'avais déjà utiliser ce sortilège sur le gamin pendant la soirée, et puis quelqu'un d'autre dans l'après midi, alors il ne fallait pas je craque et que stupefix ces deux filles... Alors j'avais pris l'initiative de désertée les dortoirs et de trainer dans les couloirs. Et donc, après plus d'une heure à jouer la fantôme avant le teint de ma peau plus blanche que jamais, j'avais enfin trouver quelque chose d'intéressant à faire.
En tournant au coin d'un couloir, j'apercevais une personne tout à fait intéressante. Monsieur Bolheyn, je l'avais suivie discrètement, avant de le voir entrer dans la bibliothèque. Je renie toute attirance que je pourrais avoir ! Mais... Je me devais d'aller le voir, c'était plus fort que moi... Lui lançant un peu d'avance, je me dirigeais vers la grande porte de la bibliothèque et me tournait vers Charlie qui me suivait toujours. Croisant les bras, je lui lançais un regard autoritaire.
« Sac à puce… Mon sac à puce, si tu préfères, soit mignon pour la première fois de ta vie, et n’entre pas dans la bibliothèque… Tu sais très bien que tu y as déguerpis à coup de balais la dernière fois, et je n’ai pas envie que ça recommence, tu ne dois pas manger les livres d’accord ? Aller, assis toi là, sois sage, ne griffe personne, sauf ceux sont méchant et… Non bon alors, griffe qui tu veux… Tu peux même partir mais je n’aime pas ne pas savoir où tu es, tu fais tout le temps des conneries… »
Je m'étais légèrement penchée en avant, mes mains s'appuyant sur mes genoux, et on aurait pu me confondre avec une mère parlant à son enfant. Charlie fait vraiment des bêtises où qu'il aille, et c'est très difficile de le garder à l'oeil... Il me regardait avec ses grands yeux verts, la tête penchée en avant, et il s'assit. Je l'avais pris pour un chien pendant quelque seconde en lui disant assis et voilà qu'il m'obéissait... Je lui caressais le haut de la tête et rentrais dans la bibliothèque. La bibliothécaires me regarda du coin de l'oeil, soupçonneuse de me voir ici, mais elle me laissa tout de même faire. Je fourrais mes mains dans mes poches, et commençais à chercher mon camarade Tharcisse. Quand je le vis enfin, je saisis le premier livre qui trainait sur une table et m'apprêtais à viser. En plein dans le mile !
« Wouhouhou ! »
Même sachant qu'elle n'était pas là, je sentais le regard mauvais de la bibliothécaires me traverser le corps. Pouah... J'affichais un air triomphant, pointant le plafond du doigts de mes deux mains, certes, c'est une réaction puérile... Puis je me dirigeais vers le jeune homme, je lui fis un petit signe de la main ironique, puis je lui tapotais la tête en passant derrière lui, finalement, et je m'asseyais sur la table, et regardais une rangée de livre à l'opposé du garçon.
« Je ne t’ai pas trop abîmée, j’espère… »
Que c'était comique, moi qui ne vais jamais vers les autres, j'allais plus que naturellement vers lui, cigarette, cigarette, mon amie... Bon, je ne peux pas démentir le fait que Tharcisse est un garçon tout à fait attirant, mais vous pensez réellement que j'aurais pu changer de caractère comme ça ? J'affichais un air impassible, mes yeux d'un bleu morne, comme d'habitude lorsque j'étais calme, et je passais une main dans mes cheveux, histoire de les rendre un peu plus présentables. | |
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