janez. l'érotisme est une pornographie de classe, héhé. uc.

janez chace eliott
fìtzloyd

« Certains hommes naissent méchants, d'autres le deviennent au gré des circonstances, ou simplement, par réflexe de légitime défense face à des contemporains, illustres ou non, qui ont le don de les faire vieillir d'ennui. Qu'importe la cible, pourvu que le trait soit assassin. »

nom : le nom de famille que je porte me vient de mon père, janez chace eliott fìtzloyd. mais j'en possède également un second. celui-ci est jones, et il me vient de ma mère. je suis d'ailleurs très heureux de ne pas le porter à la suite de mes trois prénoms. ce nom de famille-là, jones, est d'un tel manque d'originalité...
prénom : je me prénomme janez chace eliott. mon père se prénomme également janez chace eliott, et je suis donc le deuxième du nom. j'aime mon père et je rêve de lui ressembler. porter les mêmes prénoms que lui est donc un grand honneur à mes yeux. j'espère seulement ne jamais le salir. dans le cas inverse, cela serait alors un véritable désastre pour moi et tous les autres membres de ma grande famille.
origine sanguine : comme tous les autres sorciers de ma famille, je suis de sang pur et ne fréquente pas les personnes indignes de mon statut. ces personnes sont là sont, bien évidemment, les moldus, les cracmols, et sans oublier les sorciers nés de parents moldus.
âge et date de naissance : je suis âgé de dix-sept ans, et suis né un certain vendredi treize août de l'année mille neuf cent quatre-vingt cinq.
lieu de naissance et lieu de résidence : je suis né à sainte-mangouste, dans londres, la capitale du royaume-uni. aujourd'hui, je réside, avec mes parents, à londres, dans un grand - pour ne pas dire très grand, voire immense - manoir aux couleurs sombres.
composition de votre baguette magique : ma baguette magique est faite en bois d'aubépine. elle contient un croc d'hyène tuée par mon grand-père, et mesure vingt-huit centimètres, accompagnées de six petits millimètres. ma baguette est mon outil favoris. elle est très souple et très utile pour les potions.
forme du patronus : mon patronus prend la forme d'une hyène, animal vénéré dans ma famille. tous les hommes de ma famille ont d'ailleurs un patronus qui prend la forme d'une hyène.
animal de compagnie : je possède une chouette de petite taille que j'ai prénommé Lucyfere. ses plumes sont aussi noires que l'ébène, et ses yeux sont d'un bleu profond. lorsque mon rapace part en chasse, avec la couleur que son plumage a, elle se fond très rapidement dans la masse.

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pseudo : chacun son secret ; sbaffe. non, sérieusement, si tu cherches un peu sur le forum. tu trouveras alors mon double compte et, à ce moment-là, tu sauras quel est mon pseudo. muahhah, qu'est-ce que je suis méchant (aaa).
âge : je suis âgé de... bon aller, je vais te le dire... en fait, non, je te le dirai pas. muahhah.
comment avez-vous découvert le forum : comme dit plus haut, je suis déjà inscrit sur le forum, mais avec un autre compte.
que pensez-vous du forum : je l'aime, il n'est pas parfait, car rien n'est parfait, mais je l'aime tout de même presque plus que tout - ouais hein, faut pas pousser le bouchon trop loin non plus xD.
code du règlement : VALIDÉ PAR THARCISSE.
fréquence de connexion : Tous les jours, héhé.

description physique : Lorsque je suis dans la rue avec mon père et qu'on nous regarde, les gens sont frappés par notre ressemblance. Nous sommes identiques. Je suis mon père lorsqu'il était plus jeune, et mon père est moi lorsque je serai un peu plus âgé. Physiquement, il n'y pas le moindre doute, je tiens bien de mon père. Lorsque mon riche géniteur n'était encore qu'un adolescent, il mesurait un bon mètre soixante-dix pour cinquante-huit kilos. Aujourd'hui, je mesure environ un mètre soixante-douze pour à peu près le même poids que faisait mon paternel à l'époque. Tout comme lui, ma peau est légèrement typée. Légèrement seulement, car à la base, celle-ci est pâle, tout comme celle des fantômes résidant à Poudlard, l'école de sorcellerie. À chaque fois qu'une personne a le grand honneur de toucher ma peau, elle court raconter à tout le monde qu'elle est aussi lisse que celle d'un nourrisson. Quant à ma chevelure, elle n'est ni trop longue, ni trop courte. En d'autres thermes, elle est mi-longs, même si ce mot est assez exagéré lorsqu'on regarde mes cheveux. Ils ont une magnifique couleur, d'ailleurs. Enfin, je trouve qu'ils ont une magnifique couleur. Ils sont châtains, même si des fois ils ont tendance à plus être bruns qu'autre chose. Mes yeux aussi sont bruns. À vrai dire, ils ont une couleur noisette qui est mêlée à du noir. Tous les membres de ma famille ont des yeux comme les miens. Tous les membres de ma famille ont également un nez comme le mien. Un nez qui est assez arrondi, mais pas pour autant volumineux. Sinon, du côté vestimentaire, je suis quelqu'un de très exigent. J'aime les habits. Mais les habits de luxe seulement. Toutes les fringues ne dépassant pas les cent dollars, je ne les achète pas, même si elles me plaisent. Après tout, je suis une personne riche, et porter des vêtements soldés ou à bas prix nuiraient à ma réputation d'homme de luxe. Je ne porte que les habits venant des maisons de haute couture, qu'elles travaillent pour les sorciers, ou pour les moldus, j'en ai rien à foutre. Malheureusement, lorsque je suis à Poudlard, l'école de sorcellerie dans laquelle j'étudie depuis mes onze ans, je dois porter leur uniforme règlementaire idiot. Cet uniforme est moche, et je l'ai toujours dit. Hélas, à chaque fois que je me répète, on me dit « Ah, bah si tu n'es pas content, tu n'as qu'à quitter cette école de pauvres, comme tu le dis si bien ». Wow, comment il prenne tout mal dans cette école. Enfin bref, je disais donc que, lorsque j'étais à Poudlard, j'étais obligé de porter l'uniforme règlementaire qui est constitué d'une robe de sorcier noire, d'un chapeau pointu noir, d'une chemise blanche, d'un pull-over gris en hiver, d'une cravate aux couleurs de sa maison et d'un pantalon noir.
particularités : uc.
description psychologique : Ma mère et mon père me disent méchant, mauvais, machiavélique, complexe, coquet, gourmand de filles, peu sociable avec certaines personnes, extraverti, mystérieux, rebelle et dominant. J'aimerai nier tout cela mais, hélas, toutes ces choses sont vraies. J'en suis d'ailleurs heureux. Et puis, je ne vois pas de quoi mes parents se plaignent étant donné qu'ils sont aussi méchants, mauvais, machiavéliques, complexes, coquets, gourmands, peu sociables avec les gens, extravertis, mystérieux, rebelles et dominant que moi. Je tiens d'eux, voilà tout. J'ai sûrement un peu plus de génie que tout. C'est tout. Mise à part cela, je suis identique à mes géniteurs.
Je n'aime pas l'école et je ne l'ai jamais aimé. L'école ne m'aime pas et elle ne m'a jamais aimé. Jamais je n'aimerai l'école et jamais l'école ne m'aimera. Mes résultats scolaires sont mauvais. Très mauvais, même. Très souvent, la note que j'obtiens lors des contrôles est zéro. Mais avec un peu de chance, j'arrive à obtenir ne serait-ce qu'un demi point. Je trouve que ce n'est pas mal du tout, même si, évidemment, une note plus élevée serait meilleure. J'en suis conscient mais, pour être honnête, je m'en contrefiche fortement. De toute façon, plus tard, je n'aurai pas de travail, alors à quoi bon se casser la tête à apprendre des choses qui ne me seront pas utiles ? En effet, plus tard, je vivrai sur la richesse que mes parents m'auront laissé à leur mort. Je dois d'ailleurs avouer que plus vite ils mourront, et plus vite cela m'arrangera. Je ne les aime pas beaucoup – même si je suis fier d'être de leur famille –, ces sales Bourges. De toute façon, ils ne m'aiment pas non plus, et pour la même raison. En effet, étant fils de Bourges, je ne peux me comporter qu'en tel. J'aime les choses ayant rapport avec le luxe et je le cris haut et fort. Les pauvres, je n'aime pas ça. Lorsque j'en croise dans la rue, je les regarde de haut, voire même de très, très, très haut. D'ailleurs, je ne leur donne pas la moindre pièce. Après tout, cela je ne vois pas en quoi cela leur serait utile. Ces gens-là, avec une pièce de monnaie, ils courent directement des les pubs pour acheter de l'alcool. Enfin bref, de toute façon, on s'en contrefiche un peu, voire même beaucoup.
Je suis quelqu'un de très brusque et j'aime me battre. Avec mes potes pour m'éclater, et avec les autres pour leur faire du mal. Chose que je fais très bien d'ailleurs. J'ai également une seconde passion. Passion de beaucoup d'hommes, en fait : le sexe. Je n'ai pas de honte à la dire. D'ailleurs, je l'ai toujours dit. J'aime le sexe, et je le revendique. Je suis bisexuel. C'est-à-dire que j'aime les hommes et les femmes. Cela ne m'a jamais dérangé, d'autant plus que je préfère tout de même les femmes aux hommes. Enfin bref, je pense que vous savez tout de mon caractère, maintenant.
passions : Je n'ai pas beaucoup de passions. Elles se comptent en effet sur les cinq doigts d'une main. Ma première passion est la musique. Je joue de la guitare et du piano, instruments que j'ai commencé à pratiquer dès mes six ans. Mes quatre autres hobbies sont la bagarre, le foutage de gueule, le sexe et la masturbation.
plus grandes peurs : Ma plus grande peur est de décevoir ma richissime famille dont le sang est si pur.
famille : uc.

JANEZ – « Saloperie de balai pourri. »
DESTINÉE – « Janez, je t'ai déjà répété des centaines de fois, si ce n'est plus, que je ne veux pas de vulgarité dans ma demeure ! »
JANEZ - « Ouais. Enfin non, je veux dire d'accord. J'ai compris ! »

Je n'étais pas content. Mais alors pas du tout, du tout, du tout. Ma saloperie de balai s'était brisé. J'étais triste et j'essayai de retenir les larmes qui voulait s'échapper par mes yeux brun noisette. Ce balai magique, je l'avais eu pour mes trois ans. Aujourd'hui, en cet instant précis, j'avais déjà soufflé cinq bougies. Lors du mois d'août qui approchait à grands pas, j'allais faire six ans. Je n'étais plus un petit bébé. J'étais un grand garçon et je le disais à qui voulait l'entendre. Non, en fait, je le disais à toutes les personnes que je croisais, qu'ils souhaitent l'entendre ou qu'ils ne le souhaitent pas. À vrai dire, j'en avais un peu, voire même beaucoup, rien à foutre de ce que les autres désiraient. Tout ce qui m'intéressait, c'était ma petite personne, et puis c'est tout.

J'étais dans ma chambre, les deux morceaux de mon balai miniature cassé dans mes bras. Je fronçais mes sourcils et serrais mes lèvres qui se joignirent presque automatiquement. La mine renfrogné, je sortis de ma chambre qui se trouvait au premier étage du manoir où je vivais avec mes parents, Destinée Kennedy Narcissa et Janez Chace Eliott premier du nom, étant donné que j'étais le second. Je descendis les escaliers qui reliaient le premier étage au rez-de-chaussée. Par la suite, je me rendis dans la cuisine. J'étais persuadé que ma mère était dans cette vaste pièce où les couleurs sombres dominaient les murs, tout comme dans toutes les autres parties du manoir. En fait, la seule pièce qui n'avait du noir était les toilettes. Comme je l'ai dit plus haut, j'étais persuadé que ma mère se trouvait dans la cuisine et j'avais raison. Il était presque midi et ma mère terminait cuisson de notre repas. Elle avait préparé un pot au feu. Je m'avançais vers elle, et elle s'avança vers ma petite personne. Ma mère était plus grande que moi, bien évidemment. Ce fut donc pour cette raison qu'elle se baisse pour m'adresser la parole. Maman disait toujours que c'était bien mieux de regarder la personne avec laquelle on discute dans les yeux. Personnellement, de ces choses-là, j'en avais un peu rien à foutre. Je voulais juste qu'on répare mon balai avec un sortilège, et puis c'est tout, la discussion prendrait fin. De toute façon, dans ma famille, les discussions étaient rarement longues et animés.

DESTINÉE – « Que se passe-t-il, Janez ? »
JANEZ – « Euh, bah mon balai miniature s'est cassé, maman. »
DESTINÉE – « Et bien évidemment, tu n'y es pour rien, pas vrai ? »

Pff, comment se faisait-il que ma mère sache tout ? On dit que les mamans savent tout, mais bon, pas ce point-là je pense. Ce serait le cas, autant toutes les déclarer comme voyantes. En tout cas, ma mère avait vu juste et j'avais bel et bien menti. Mais un tout petit peu, hein. Mon balai miniature ne s'était en effet pas cassé seul, mais avec mon aide. Ce n'était pas volontaire mais je dois avouer que c'est en partie à cause de moi que mon jouet est cassé. En fait, je m'étais assis dessus. La raison de ce geste était simple : je désirais voler avec mon jouet, comme je le faisais il y a quelques années encore. Malheureusement, j'ai l'impression que j'ai un peu trop grossi et grandi depuis mes trois et quatre ans. Mais bon, de toute façon, ce qui s'était vraiment passé, je ne comptais pas le raconter à ma mère. Il ne manquait plus que ça ! Après tout, si il était cassé c'était aussi à cause d'elle et de papa ! Bah ouais, hein. Lors de mes cinq ans, ils n'avaient qu'à m'acheter un nouveau balai miniature, voire même un vrai pour changer.

JANEZ – « Non, maman. J'y suis pour rien. »
DESTINÉE – « Bah voyons, j'allais te le dire. Bon qu'est-ce que tu veux ? Dépêche-toi, je n'ai pas le temps, je prépare le déjeuner. Alors à moins que tu ne souhaites pas manger... »
JANEZ – « Euuuh. Bah que tu répares mon jouet. »
DESTINÉE – « Je ne peux pas, j'ai laissé ma baguette magique chez ta tante, Latasha. Et puis, de toute manière, il est bien trop abîmé, autant en acheter un nouveau. Tu n'as qu'à t'amuser avec d'autres jouets en attendant. »
JANEZ – « Mais non, c'est avec ce jouet que je veux m'amuser, maman ! »
DESTINÉE – « Bon, bah t'as qu'à mettre du scotch sur ton balai pour bébés, et puis voilà, après tu pourras en faire, comme les bébés. »
JANEZ – « T'es méchante, je t'aime plus, sorcière ! »
DESTINÉE – « Qu'il en soit ainsi dans ce cas, ignoble gros bébé. »

Ma mère se mit alors à imiter un bébé avant de se rendre, à nouveau, derrière les fourneaux. Je remontais alors dans ma chambre, des larmes coulant sur mon visage enfantin. J'avais, au passage, jeté mon balai miniature dans les escaliers, lorsque je les remontais. Ma mère était une crétine qui ne pensait qu'à elle. Bon, mon père et moi étions comme elle mais bon, il n'empêche qu'on n'insulte pas son enfant de six ans avant de se foutre de sa gueule. De toute façon, ma mère, Destinée Kennedy Narcisse n'était qu'une sale garce. Elle ne foutait rien de ses journées – mise à part la bouffe, mais de toute façon, la nourriture qu'elle fait est infecte – et vivait sur le compte de mon père, Janez Chace Eliott, premier du nom. Je me demande d'ailleurs comment il a fait pour vouloir de cette crétine ambulante. Je suis sûr que même la personne la moins censée au monde n'aurait pas épousé une créature comme l'était ma mère.