Lauren J. McAlystair Nouvel Habitant de Nex Necis (a)
Messages : 2 Date d'inscription : 01/07/2009
| Sujet: mademoiselle. under construction Jeu 2 Juil - 18:26 | |
| I. IntroductionNom : McAlystair. Prénom : Lauren, Jessica. Âge : 16 ans. Date de naissance : Un premier janvier. Lieu de naissance : Hôpital Ste-Mangouste, Londres. Lieu de résidence : Chez sa soeur, dans un appartement banal de Bristol. Origine sanguine : Sang-pure, les McAlystair le sont depuis toujours. Patronus : S'il était faible auparavant, il prend désormais la forme d'un phénix, son animal favori, d'ailleurs. Baguette magique : Bois d'if, trente centimètres, contenant un ventricule de dragon et notamment efficace pour les sortilèges d'attaques. Animal de compagnie : Un chat d'un noir d'encre, nommé Allie. II. Descriptions physiologique et psychologiqueDescription physique : Particularités : Description psychologique : Passions : Plus grandes peurs : III. Famille et HistoireFamille : Une famille qui n'est pas banale, si on pourrait le dire ainsi. Les McAlystair... une longue lignée de sangs purs, qui n'ont jamais fini de faire parler d'eux, que ce soit rumeurs, vérités ou mensonges. Et soit on les aime, soit on les aime pas. Le mystère les entourant est bien trop épais pour qu'on ose les approcher et tisser de vrais liens affectifs avec ces individus. Ils ont du pouvoir, et leur fortune colossale font que la population magique les respectent, d'une manière ou d'une autre. Sans oublier qu'ils sont tous talentueux, malgré qu'ils ne se ressemblent pas bien souvent hormis certains points physiques. Les parents des derniers enfants McAlystair... Eleazar et Helena, un merveilleux couple qui malgré ce que l'on pouvait croire, s'aimaient profondément. Malheureusement, ces deux-là disparaitront complètement de la surface de la terre alors qu'ils étaient partis en voyage... un voyage dont ils n'étaient jamais revenus. Puis, quelques mois plus tard, leur mort était officiellement déclarée. Un couple disparu, deux jeunes sorciers aux passés sombres mais magnifiquement talentueux, riches et beaux. Laissant à leur disparition trois enfants. Trois filles : l'aînée, Rosalie, âgée désormais de vingt-et-un ans, la deuxième, Lauren elle-même, et la petite benjamine... Abigaïl, âgée de quinze ans. Trois fillettes laissées à la charge de leur tante maternelle, Elizabeth Mercury, qui avait alors à l'époque tout juste vingt ans et qui vivait d'une manière libre et célibataire dans un manoir londonien, héritière d'une fortune incalculable et qui n'avait même pas besoin de métier précis pour subvenir à ses besoins tellement l'argent ne manquait pas... une femme qui exerce désormais un métier bien haut placé dans le Département de la Justice Magique.
Histoire : Suite au prochain post. IV. Informations académiquesMatière préférée : Potions et DCFM. Matière détestée : Histoire de la magie, Divination et Astronomie. Résultats des BUSE :
Créatures aux soins magiques - Acceptable DCFM - Optimal Sortilège - Optimal Métamorphose - Effort Exceptionnel Potions - Optimal Divination - Désolant Histoire de la Magie - Piètre Astronomie - Acceptable Botanique - Optimal Elle a donc un total de 7/9.
V. Informations Hors-JeuPseudo : Haunted. Âge : 15 ans. Comment avez-vous découvert le forum : Partenariat sur FI*. Que pensez-vous du forum : J'adore. <3 Sinon je ne m'inscrirais pas. x) Code du règlement : Fréquence de connexion : Souvent pendant les vacances, en tout cas.
Dernière édition par Lauren J. McAlystair le Dim 5 Juil - 22:34, édité 1 fois | |
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Lauren J. McAlystair Nouvel Habitant de Nex Necis (a)
Messages : 2 Date d'inscription : 01/07/2009
| Sujet: Re: mademoiselle. under construction Dim 5 Juil - 20:41 | |
| Lauren Jessica McAlystair ; le 23/06/2000 Qui a dit qu'une histoire se lisait ? Non, elle se raconte... Rosalie me tenait fermement la main, me faisant avancer silencieusement après Tante Ellie. L'endroit ne ressemblait en rien au Wiltshire, et je regrettais sincèrement le fait que notre tante préférée soit-elle ait changé d'avis au dernier moment : au lieu de récupérer et de rester vivre dans le manoir de mes parents, elle avait préféré retourner à Londres avec nous. Le bon côté était qu'elle ne nous abandonnait pas. J'étais déjà venue en cet endroit pour les périodes festives, mais je n'avais jamais aimé la capitale anglaise auparavant, pour finir par m'habituer à ce flot d'habitants, ce voisinage bien trop observateur à mon goût, voir même l'arrogance dont faisait preuve notre grand-mère maternelle, même enfermée dans son tableau. J'avais six ans à cette époque, mais je m'en souviens très bien. J'ai toujours eu bonne mémoire. Il neigeait, nous étions en janvier. Malgré que j'avais brièvement pleuré, j'avais tout de même eu le réflexe d'enfiler l'une de mes plus belles tenues, de me peigner correctement et d'enfiler mon manteau bleu marine aux boutons d'argents. Une parfaite londonienne, disait Tante Ellie en souriant et en passant sa main dans ma chevelure dorée. Puis arrivées à destination avec mes soeurs et ma tante, je remarquais en observant la rue que les voisins nous observaient. Ils nous scrutaient, avides et inquiets à la fois. Ils ne nous avaient jamais réellement vus, ou bien ne s'en souvenaient pas. J'entendis une vieille femme passant à notre droite murmurer à son époux : « Non de dieu, mais comment fait-elle pour accepter d'être à la charge de ces trois fillettes ? Je trouve que c'est une sacrée tâche pour une jeune femme de vingt ans. ». Mes deux grands yeux clairs s'étaient alors posés sur ceux de la vieille femme, mon regard indéchiffrable croisant son regard sceptique. Elle avait aussitôt détourné le visage en rougissant. Ce fut bien quelques temps plus tard que j'avais compris que les McAlystair n'étaient pas comme les autres gens du quartier et que le voisinage se méfiait de nous.
Définitivement, Londres ne m'avait guère séduit. Je préférais le naturel et la richesse du Wiltshire, et la présence de mes parents me manquaient. Même s'ils avaient toujours été sévères, surtout ma génitrice, ils nous montraient qu'ils nous aimaient fortement fort. Je m'en rends compte maintenant, mais au moins, je ne l'ignore plus. | |
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