« charlotte james •• 1OO %

Elle naquit à Cork, née de l’union de Meredith Kir James & Hector James, Charlotte est la fille d’un couple n’ayant pas une grande richesse, au contraire. Mais elle n’a jamais vécu dans la pauvreté, non pas du tout. Elle avait ce qu’elle avait de besoin, mais elle n’avait pas tout ce qu’elle voulait. Ce n’était pas un enfant très gâté, mais Charlotte vivait très bien là-dedans et donc elle n’en sait jamais plain. L’une des qualités les plus voyantes dans sa famille était; l’amour avant tout objet. Ceux-ci formaient une belle petite famille avant que ses parents se s’éparent alors qu’elle n’avait que trois ans. Malgré tout ça, elle a quand même quelques souvenirs flous de l’amour qu’ils partageaient ensemble. Belle et réfléchi comme sa mère, posé et rêveuse comme son père, elle est le parfait union des deux adultes et elle est le seul enfant de ceux-ci. Donc elle n’a ni frère ni sœur, elle est enfant unique. Malgré ce fait, elle ne se sent pas seule, et ne rêve pas particulièrement d’en avoir une ou un. Enfaite, elle n’y a jamais vraiment pensé! Son père n’est pas aussi fils unique, il a deux frères et une sœur. Mais la douce Charlotte ne les voit que très rarement vu l’endroit où ils habitent, avec ses grands-parents. Eh oui, parce que ceux-là habitent tous en Angleterre, à Londres. Cela se fait très loin, surtout avec l’argent qu’ils ont; ils ne peuvent pas s’acheter des billets d’avion tant qu’ils veulent. Charlotte les voit au moins aux cinq ou six ans. Du côté de sa mère, elle ne connait que la maman de celle-ci c’est-à-dire sa grand-mère maternelle, s’appelant Larry Frank Kir. Elle l’a voie très fréquemment; elle habite dans la même ville qu’elle. Toute sa famille est d’origine anglaise, ils ont emménagé deux ans plus tôt avant qu’elle naisse. À poudlard, les personnes non sorcier sont appelés moldus, comme ses parents. Elle est la seul de sa famille ayant la possibilité de faire de la magie. Maintenant elle vit avec son père dans la même maison de son enfance.

« Charlotte? Vous parlez bien de ma petite Charlotte? Oh… C’est un petit rayon de soleil. Non. Non. Je vous le dis, un petit ange venu du ciel. Elle est tellement jolie avec ces petits cheveux blonds. Vous allez voir, en ce moment elle dort à point fermé. Je n’aie jamais cru que je pourrais un jour donné vie à un être. Oh si vous saviez… Si vous saviez comment je l’aime. Enfin oui, c’est absurde ce que je dis là voyons. Toute maman aime son enfant c’est évident. Bon… Peut-être pas toutes, mais bon. Nous ne rendons pas là. Je vous aie déjà dit que c’était un petit rayon de soleil? » Dit-elle tout en ricanant de plus belle et en se dirigeant vers ma chambre d’enfance, désormais bleue poudre. Ma grand-mère, c’était elle qui avait piégé ce moment pour le mettre dans un petit film maison. Elles avaient eu l’idée toutes les deux de faire un montage en mon honneur pour que plus tard, je regarde tous ces souvenirs qui n’avait pas pu être gravé en ma mémoire puisque j’étais encore qu’un bébé.

Arrêter. J’arrêtais la cassette qui jouait à la télé. C’était trop, trop avant que j'éclabousse en larme. Pourquoi mon père ne me l’avait pas montré plus tôt cette fichu cassette? Il suffisait que ma grand-mère me dise neuf ans plus tard qu’il y avait une cassette de ma mère pour moi, en cadeau? Pourquoi? Je restais figé devant la vidéo, plonger dans l’écran avec ma télécommande dans mes mains, j’essayais de ne pas échapper une seule larme de mon corps. C’était dur.

Le bonheur ne compte peut-être pas beaucoup, mais le fait d'en être privé, compte beaucoup plus. »

Charlotte – trois ans avant l’arrivé à Poudlard.



Treize juillet. C’était pendant un bel après-midi que la naissance de la petite Charlotte eu lieu. L’accouchement se passa merveilleusement bien. Comme cette journée qui avait été magnifique. L’air parfumé de roses et de lilas cueillis par la parenté, le couple connu un bonheur total dans l’hôpital le plus connu de Wexford, en Irlande. Leur seule et unique fille tant attendu naquit en ce jour ensoleillé; les rayons du soleil battant dans toute leurs splendeurs. Le couple n’était désormais plus très jeune, mais ils étaient toujours d’une humeur débordante. Une petite célébration était prévue derrière la cour de ceux-ci, quelques jours plus tard. Toute la famille était invitée pour pouvoir fêter la naissance du bébé. Les plus heureux qui assistaient à cette fête était ce couple en question. Pourquoi? Eh bien tout simplement parce que ce petit bébé était les leur. Ils fonderaient une véritable famille et seraient heureux. Heureux comme personne ne l’avait jamais été ou peut-être pas… Une si belle robe bleue avait habillé la nouvelle maman, voulant être plus que parfaitement avec ses bijoux en argent même si cela n’avait pas couté une fortune. Oui, la nouvelle famille James n’avait jamais vécu dans la grande richesse et ne l’était pas plus ce jour-ci. Et son père, habillé d’un banal chandail et d’un jeans non pas délavé. Au moins! C’était une soirée barbecue et croustille à volonté. Celle-ci avait été chaude en couleur, et la petite Charlotte dans les bras de sa mère qui d’ailleurs la contemplait avec émerveillement. L’enfant était en bonne santé.

Toute la famille était partie pour une nouvelle base de vie. Et de son côté, Charlotte montrait de plus en plus son caractère, c’était un enfant vertueux. Il était difficile de ne pas tout de suite succomber à son charme. Elle avait les traits angéliques de sa mère et les yeux bleus et verts poudrent à son père. Un unique mélange des deux parents. Ainsi, le temps passa et la jeune fille commença à grandir doucement. Comme tous enfants, il y avait eu le premier mot; maman. Et jusqu’à avoir presque toutes ses dents de bébé. Les journées passèrent naturellement. Mais pour cause qu’elle ne saura jamais, car étant trop jeune dans ce temps, les beaux jours se fessaient de plus en plus rares. Ses parents ayant perdu la raison de leur couple, divorça alors qu’elle n’avait que trois ans. Suite à cette rupture, la mère ayant eu la garde de la petite, elle vécue non loin de la ville où elle habitait avant. Rien ne fut aisé. Charlotte n’ayant eu que quatre ans cette année là, ne voyais même plus son père. Tout était flou désormais dans sa tête. Mais il y a eu le premier jour d’école…

Le premier jour d’école de Charlotte. Quelle expérience! La petite fille tout juste âgée de cinq allait devoir passer toute une journée en compagnie d’inconnus. Même si les jours étaient dorénavant moins facile qu’autrefois, elle devait faire de son mieux et d’e faire ce qu’on lui disait de faire. Voilà les recommandations que sa mère lui avait glissé en l’a laissant se diriger vers la porte d’entré du petit établissement. Étrangement, elle s’accrocha rapidement et facilement aux livres et aux lettres d’écritures. Elle s’amusait comme un enfant qui aurait eu un méga jouet. Charlotte obéissait à tout ce qu’on lui disait. Elle était la réplique exacte de sa propre mère au même âge. Puis, il y a eu la période la plus difficile, un changement soudain. Même sans qu’elle l’ait vu venir… Sa mère tomba affreusement malade, À ce moment-ci, la peur devenait réelle. Non seulement de perdre l’espoir, un signe de vie dans ses yeux, sa mère devenait de plus en plus absente, mais surtout dans son regard. Même si sa maman lui disait que tout allait bien, Charlotte voyait venir quelque chose de mauvais… Une sorte de pressentiment.



Désormais, alors que je n’avais que huit ans, tout ne fonctionnait plus comme il l’avait été. Un jour il y a eu un appel. Le deuxième jour, il fallait que je partes, je n’étais plus en sécurité comme je l’avais été auparavant chez ma mère.

CHARLOTTE – « Maman? »
AUBREY – « Oui, ma belle? »
CHARLOTTE – « Dit-moi quelque chose de réconfortant... »
AUBREY – « Mais voyons ma chérie, tu sais bien que tout va se passer à merveille. De toute façon, tu dois savoir que je t’aime plus que n’importe qui. Je ne t’abandonnerai jamais… Jamais. Tu n’as plus à avoir peur. Je serrai toujours là, à tes côtés même si nous serrons à quelques kilomètres l’une à l’autre… ».

Je tirai le rideau rouge sombre pour apercevoir davantage ce qui se passait derrière la vitre accablement sali par les moisissures de ces derniers jours. Regardant par la fenêtre, mon père m’attendait dehors sur le bord du terrain avec mes valises ranger dans le coffre de sa voiture. Ma mère me donna un bizou sur la joue. Il fallait que je partes chez mon père, pour mon bien me murerait sans cesse ma mère. Je me suis rendu compte plus tard, que c’était une façon de se convaincre qu’il le fallait et surtout de retenir ses pauvres larmes déchirés par la souffrance de perdre sa fille pendant un long moment, même pour toujours. Alors, sans faire de bruit quelconque, je me rendis à l’entrée avec le reste de mes livres inachevés et marcha vers mon père. Je montai dans la voiture et regarda ma mère, se fut la dernière fois que je l’aie vu comme ça…

« Ce fut la dernière phrase qu’elle se rappela encore et encore, même si sens cesse elle essayait de la faire disparaitre. C’était comme si cette lourde phrase trottait dans sa tête en un éco immense. Même s’il fallait peu de mots pour exprimer l’essentiel, cela ne suffisait pas. Elle voulait retourner en arrière pour récupérer sa mère. Mais ce ne fut plus possible…
Souffrir passe. Avoir souffert ne passe pas. »

Charlotte – un an avant l’arrivé à Poudlard.



À neuf ans, la petite fille allait voir sa mère que quelques minimes fois aux trois mois, malgré le fait qu’elle voulait la voir davantage. Mais sa mère n’allait plus bien. Elle n’était plus comme avant et il fallait faire attention comme disait son père. Il n’a jamais vraiment prêté attention à ces sentiments. Une importante maladie mentale grava à jamais la vie de Charlotte. Elle resta marquée par cet épisode de sa vie, et sa mère ayant fait plusieurs crises de colère pendant qu’elle était jeune, ne place plus jamais un mot plus haut que l’autre. Sa mère avait été placée dans une institue psychiatrique. Sa mère à elle… À toutes les fois où elle va la voir, il n’y a plus d’amour ou de tendresse comme cela avait été. Au contraire. D’ailleurs, de l’autre côté, son père, avec qui elle vit aujourd’hui à Cork, l’a trouve un peu trop coincée, mais Charlotte affirme être bien là-dedans. Oui, parce que son père ne retrouvait pas la petite fille aux cheveux blonds qu’il avait connu. Par contre, l’une de ses réjouissances, les seules qu’elle avait c’était de se trouver dans ses bouquins ou se retrouver au bord de la mer. Ensemble, cela fessait un bon mixte. Avez-vous déjà vu Charlotte lire au bord de la mer? En tout cas, elle y allait maintes fois sans jamais se tanner des vagues ou de la froideur du sable de la plage. Parfois, elle cueillait des coquillages pour en faire une jolie collection. À l’école de la ville, elle ne se fit que quelques amis, car elle n’avait pas comme but de faire du socialisme, mais comme but de faire ses études. Comme le disait sa mère autres fois; faire de son mieux et de faire ce qu’on lui disait de faire. Comme c’était simple pour elle! Charlotte n’était pas une petite « intello » aux grosses lentilles et aux broches fulgurantes. Non. Elle était simplement une jeune fille qui adorait aller à l’école. Elle avait une moyenne assez forte, mais elle ne s’en ventait pas la moindre miette. Lors d’une période de diner à l’école, Charlotte s'était dirigé vers la bibliothèque. Demeurant assise à lire tout le diner, elle releva la tête vers l’un des livres qui l’intéressait bien; un roman à l’eau de rose. Puis s’en avoir fait de geste, le livre bougea tout seul. Sans pouvoir expliquer se fait et geste, elle partit avec ses cahiers ne voulant plus jamais y repenser. Et cette fois, les années passèrent lentement…

Treize juillet, lorsqu’elle eue la deuxième année de ses deux chiffres; onze ans. Festivités et quelques invités étaient promis d’être présent dont la grand-mère de celle-ci. Lors du déroulement de la fête, il n’y avait pas d’innombrables cadeaux d’anniversaires, mais il y en avait que quelques-uns. Charlotte se disait, même s’il n’y en a pas beaucoup, que les cadeaux sont comme des conseils; ils font plaisir surtout à ceux qui les donnent. Avant de les développer, elle s’avouera un gâteau que sa grand-mère lui avait fait. Un gâteau aux myrtilles. Elle l’apprêtait toujours avec beaucoup d’amour, c’était peut-être pour ça que ce gâteau goûtait toujours aussi bon! Enfin bref, avec entrain et régal que la fête commença. Puis soudainement, la fenêtre du salon s’ouvrit par une poussé de vents puissent. Elle décida dit allé pour la refermer puis en une poussé de brise vint à elle ainsi qu’une petite lettre écrit aux lettres minutieusement écrites, où il y avait écrit l’adresse, le correspondant et celui qui l’a lira, c’est-à-dire Charlotte.