Jamie, James ! Pour vous servir !

I. Introduction

Nom :

Prénom :

Âge :

Date de naissance :

Lieu de naissance :

Lieu de résidence :

Origine sanguine :

Patronus :

Baguette magique :

Animal de compagnie :

II. Informations académiques

Matière préférée:

Matière détestée :

Résultats des BUSE :

Résultats aux examens de l’année précédente :
Résultats aux ASPIC:

III. Informations Hors-Jeu

Pseudo:

Âge:

Comment avez-vous découvert le forum:

Que pensez-vous du forum :

Code du règlement :

Validé par Jas.

Fréquence de connexion :

Chapter One : La famille, c'est tout ou rien !

« Jamie ! Viens m'aider à préparer le dîner de ce soir »

« Ouiiiii ... ! J'arrive maman ! »

Ce soir, on attendait des invités, du coup, maman était un peu stressée. Mais cela ne m'inquiétais pas le moins du monde, depuis que je la connais, elle a toujours été la même. Ce que je trouve plutôt rassurant. Ma mère, je l'adore. Petite de taille, à côté d'elle, on dirait que je suis un géant, ce qui me fait beaucoup rire. Souvent dans la lune, un peu maladroite, et très étourdie, elle en rit beaucoup, elle aussi. Elle a la joie de vivre, et je crois que c'est d'elle dont je tiens ceci. En fait, je tiens énormément de ma mère. J'aime la vie, j'aime rire, et je suis extrêmement maladroit. Je le suis tellement que ça en devient maladif. Parfois, j'en souffre. Mais comme on dit : "Il vaut mieux en rire qu'en pleurer !" Mais le point commun que j'adore entre nous, c'est le fait qu'on soit français. Ensemble, on parle français, on a nos petites traditions françaises, on aime cuisiner français etc ... C'est pour cela que je porte toujours un béret sur la tête. Étant très proche de ma mère, je peux affirmer que Paris lui manque beaucoup, même si elle ne veut pas l'avouer et qu'elle est heureuse avec mon père...
Bref, revenons en au repas.
Maman aurait très bien pu utiliser la magie pour se faciliter la tâche, mais comme mon père est un moldu, elle évite le plus possible. Ma soeur ainée de trois ans était partie vivre avec son fiancé depuis quelques mois déjà, et comme papa rentrait tard du travail, j'étais le seul sur qui maman pouvait compter, cette dernier étant mère au foyer. Ni riche, ni pauvre, nous étions une famille de ce qu'il y a de plus normale. Nous vivions heureux, tout simplement. Je m'entendais bien avec tout le monde. J'adorais ma famille, mis à part ...
Ding dong.
Vite, je finis de me changer, après avoir pris une bonne douche et je descends vivement les escaliers. Ouf ! Juste à temps ! Reprenant une respiration régulière et remettant une mèche blonde en place pour ne pas l'avoir devant mes yeux, j'ouvris la porte d'entrée. Je me retrouvais nez à nez avec mon père, ma grand-mère maternelle et paternelle, mon grand-père paternel et ... mon oncle maternel. Le seul que je n'arrivais pas à saquer. Je le détestais. Pourquoi ? Je n'en savais rien, mais il ne m'inspirait pas confiance. Loin de là. Il m'inspirait plutôt méfiance. Tout le monde rentra dans la maison se dirigeant vers la pièce principale, qui était la salle à manger. Mais lui, lui il ne se contenta que d'un seul pas, se retrouvant à quelques centimètres de moi. Il me regarda, l'air imperturbable, quoique ... machiavélique. Moi, je ne cessais de lui lancer des regards noirs et meurtriers. Après quelques minutes, qui étaient longues, très longues, à rester dans cette situation, ma mère arriva, se demandant ce qui se passait. À ce moment là, mon oncle eu un rire sadique étouffé et partit rejoindre les autres dans le salon. Maman se rapprocha de moi, me prit par les épaules, soupira et me regarda d'un air désolé. Proche comme on était, un seul regard entre nous résumé tout et permettait de nous comprendre. Nous nous dirigeâmes dans la grande pièce avec tous les autres. Mon père avait enlevé sa cravate, et il faisait la conversation à toute la famille, sortant des blagues pas drôles pour mettre de l'ambiance. Tout le monde riait. Même moi, cela m'arracha un sourire. Papa ... Je l'adorais aussi. Mais pas autant que maman.

[...]

« C'était bien bon, chérie !»

« Pour la ratatouille, remerciez Jamie ! »

« Bravo, fiston ! Tu prends vraiment la main ... Dire qu'avant tu souffrais de dyspraxie ! ! Tu pourrais devenir cuistot !»

« Euh ... merci, papa. Mais, hum, cuistot, on va éviter. J'ai encore des progrès à faire, en cuisine, et au niveau du contrôle de mon corps... Maintenant, si vous permettez...»

Sur ce, je me levais de table, montant les marches des escaliers, me dirigeant vers les toilettes du deuxième étage, me soulager du liquide corporel en trop une bonne fois. Sortis du pipiroom, je me lavais les mains dans la salle de bain, qui étais la pièce d'à côté, quand je m'aperçus de quelque chose de louche, de très très louche.
Notre maison était grande, deux étages : RDC + 1er étage + 2eme étage. Le Rez-de-chaussé était composé de : la cuisine + des toilettes + la salle à manger qui était avant une ancienne école de danse. 1er étage : la chambre de mes parents + la salle de bain qui va avec + 2 chambres d'invités + les salles de bains qui vont avec + 2 toilettes. Et le 2eme étage, mon étage à moi : ma chambre + ma salle de bain + mes toilettes + ma pièce préférée, ma salle secrète. Cette salle était immense, la plus grande de la maison. Et, à l'intérieur, c'était le rêve pour un musicien. Tous les instruments de musique possible. De toutes les sortes de guitares, à l'harmonica en passant par le saxophone et le piano. Quand je disais que nous ne sommes pas riches, c'est vrai. Nous l'étions, mais avec toutes ses dépenses, nous ne l'étions plus. Mais, mais parents avaient vraiment eu un gros coup de coeur pour cette maison.
Bref. Là, ce qui était louche, c'est que la porte de MA SALLE À MOI TOUT SEUL était ouverte. Alors que je la fermais toujours à clé et personne n'y entrait pour respecter mon intimité. Je poussais la porte de la pièce en question pour voir qui y étais. Je faillis le frapper en le reconnaissant.

« Qu'est ce que vous faîtes ici ?»

« Est-ce une façon de s'adresser à son oncle ? Tu sais, tu pourrais me tutoyer, quand même !»

« ... Non, ce n'est pas une façon de parler à son oncle, mais je ne vous tutoierez pas. »

« C'est pas grave ... Mmmmh ... Apparemment tu aimes la musique.»

« Plus que vous ne le croyais. C'est ma passion, ma vie.»

« Tu en joues ?»

« Guitare, basse, batterie, piano, harpe, contre-basse, violon, clarinette, saxophone, trompette, harmonica et flûte de pan. Je chante aussi.»

« Oh ! Impressionnant ! On a un jeune prodige de la musique ! Alors laisse moi te donner un bon conseil. Ne te ...»

« Qu'est ce que ça peut vous faire ? D'ailleurs vous ne m'avez toujours pas répondu : Que faîtes vous ici ?»

« Oulà ! J'ai peur, le renardeau va mordre ! Je redescends, j'ai bien trop peur de finir à l'hôpital.»

Et d'un rire sonore qui me donne des frissons dans le dos, il descendit les marches de la maison pour retrouver le reste de la famille. Moi, je restais là, sans bouger, mes poings et ma mâchoire serrés, tremblant de fureur, autant contre lui que contre moi-même. Pourquoi était-il rentrait ici ? Et pourquoi lui avais-je parlé de ma passion, de la musique ? Mais ce qui m'énervait le plus, c'est ce qui m'inquiétait le plus aussi. Qu'avait-il voulu me dire ? Quel était ce conseil ? Je ne voulais rien entendre, parce que, même si je le détestait de toute mon âme, j'étais sûr que j'allais croire ce qu'il allait dire. Pourquoi ? Parce que je suis bien trop naïf. Je ne suis pas bête, loin de là, c'est juste qu'une partie de moi ne peut pas s'empêcher de croire les paroles de mon interlocuteur, malgré moi. J'en suis bien conscient, mais c'est comme cela et je n'y peut rien.
Poussant un soupire, secouant la tête et respirant un bon coup, à mon tour, je descendis les escaliers quatre à quatre, rejoindre ma famille que j'aime malgré tout !

Chapter Two : Petit Rayon De Soleil Deviendra Grand ... !

« Alors Blackwood, tu ne sais même pas manger correctement dans une assiette ? »

Je baissais la tête, honteux. Nous étions dans la grande salle, entrain de dîner et les Serpentards de 7eme année, qui étaient à la table à côté, se moquaient de moi. Tout ça parce que j'avais encore cassé une assiette et renversé le potage de légumes. Et oui. Je souffrais de dyspraxie. Mais les autres ne le prenaient pas comme cela. Comment le prenaient-ils ? J'explique. Étant en 4eme année, pour eux je n'était encore qu'un petit bébé très bête et maladroit. Et d'un caractère assez timide, je n'osais pas répliquer, je me contentais juste d'encaisser. Mais un élève de ma maison qui était beaucoup plus grand que moi vint à ma rescousse. Je lui lançais un sourire chaleureux et aimable pour le remercier. Et je continuais mon repas en essayant de faire le moins de dégâts possibles. Malgré que je casse toujours quelque chose, que je renverse toujours quelque chose, bref, j'avais fait beaucoup de progrès par rapport à ma maladie. Il n'y avait pas de traitement et tout était question de volonté. Je pouvais vivre une vie plus ou moins normale, alors j'avais beaucoup de chance. Et je ne me plaignais jamais. J'embrassais la vie. Je vivais ma vie à fond ! J'apportais la joie de vivre partout où j'allais. J'étais rayonnant ! C'est sûrement pour cela qu'on me surnomme : Petit Rayon De Soleil. Mais, même si j'apporte le joie de vivre à mon entourage, j'ai encore quelques problèmes de timidité avec les inconnus, mais avec mes amis, alors là, je me lâche ! Toujours entrain de sortir une connerie à laquelle tout monde rigole même si elle n'est pas marrante. Je suis toujours opérationnel pour une fête, j'adore m'éclater ! D'ailleurs, là plupart des fêtes, je les organise, même si au départ je ne devais être qu'un invité, car je suis un très bon organisateur. Je pense que je dois remercier ma certaine intelligence pour cela. Et c'est aussi moi qui mets l'ambiance, la majorité du temps. Non, ce n'est pas parce que je bois beaucoup d'alcool, d'ailleurs j'en bois très modérément, parce que je suis bourré comme un coin, c'est parce que je danse, je chante, je danse, je chante et encore je danse et je chante. Voilà une très bonne façon de mettre un peu d'ambiance.

Le repars fini, je me levais gracieusement de table et sortais du château me dirigeant vers le parc, un livre et ma flûte de pan à la main. À cette heure-ci de la journée, il n'y avait pas grand monde allongé ou assis dans la bonne verdure fraîche de Poudlard. Donc, c'était très came, et j'appréciais beaucoup. Alors que je pris un tournant je tombais nez à nez avez un groupe de filles. Sans faire exprès, j'en bouscula une et tomba sur le sol avec elle. Ces filles, je ne les connaissais ni d'Eve ni d'Adam, pourtant elles avaient l'air très heureuse de me voir. Elles essayaient d'étouffer des gloussement, ou rougissaient. Je me relevais et tendis une main à celle qui était encore à terre. Elle hésita à prendre ma main, mais finalement, quand elle le fit, elle devint plus rouge qu'une tomate et partit vite avec ses amies. Qui devinrent complètement hystériques. Moi, je continuais à les regarder partir, me demandant ce qui se passait. J'avais bien compris que je leur plaisait. Mais pourquoi donc ? Je ne les avais jamais vu, peut être qu'elles si ? Mais on ne s'était jamais parlé. Juste parce que j'étais beau ? Oui oui. C'est vrai que j'étais beau. J'avais des cheveux très blonds, tombant devant mes yeux, qui étaient verts émeraudes. Un visage très affiné. Le corps de même, mince et musclé de plus. J'étais quelqu'un de très gracieux, une démarche légère, dansante, et je roulais même du cul. Parce que je faisais de la danse depuis que j'étais tout petit. Non. Il devait y avoir autre chose. J'en étais sûr et certain. Alors que j'étais perdu dans mes réflexions, des pas familiers me rattrapèrent.

« Mozart ! Quel tombeur tu es ! »

« Oh ! Tharcisse ... »

« Ca veut dire quoi de "oh" ? »

« Rien ... J'étais juste perdu dans mes pensées ... »

« ... à chercher pourquoi tu as autant de succès auprès de la gente féminine. Ne cherche pas à comprendre quoi que ce soit, tu es un vélane par ta mère, il n'y a pas plus simple ! »

« Tu dis ça, mais toi aussi t'as du succès. Et puis, tu sors avec Charlotte, maintenant, non ? »

« Exact, les bonnes vieilles techniques de drague, ça marche toujours. Ce que je comprends pas, c'est toi, tu aurais pu sortir avec quelques filles, non, aucune n'est assez bien pour toi. La seule personne avec qui tu es sorti, c'est un garçon. Pourtant, tu n'es pas homosexuel, tu es bisexuel. »

« Tu sais, moi, je ne peux sortir qu'avec des gens que j'aime vraiment. J'ai trop peur de leur faire du mal sinon. Tu me blâmes d'être sorti qu'avec une seule personne, mais avec Jeremy ça a duré plus de trois ans ! »

En riant comme deux frères jumeaux, d'ailleurs c'est ce que nous prétendions être, nous partîmes ensemble dans le parc. Nous nous allongions près d'un saule pleureur qui était lui même près d'un ruisseau, logique. Et je commençais à lire, m'assoupissant un peu plus chaque seconde, bercer par le bruit de l'eau et le chant des feuilles au vent.
Après que nous, les deux amis, aient piqué un bon petit somme, je sortis ma flûte de pan et commença à en jouer. J'en jouais si bien que les gens aux alentours s'arrêtèrent de bavarder pour écouter le son se perdre dans l'espace qui composé le parc. Personne ne bougea, pas un ne respira. Un ange tomba du ciel ...
Après une bonne dizaine de minutes, je m'arrêtais, à bout de souffle, reprenant sa lecture. Mais celle-ci s'arrêta vite, aussi, car une personne était non loin de l'endroit où se trouvait les deux Serdaigles. Janies. Mon amour. Je refermais mon bouquin, m'appuyant un peu plus confortablement et la regardais d'un air rêveur jusqu'à ce que Thaz me surprenne !

« Ok ! J'ai compris : tu es amoureuse de Janies McConaughey ! »

« Chuuut ! Elle pourrait t'entendre. Oui, tu as deviné ! Mais s'il te plait, ne le dis à personne ! »

« Je serai muet comme une tombe ! »

Dit-il en reprenant une cigarette --'
Mais je lui faisais entièrement confiance, et ce n'était pas à cause de ma naïveté, c'était parce que Tharcisse était mon meilleur ami, son frère de coeur ...

« Et, Blackwood ! Quelqu'un pour toi ! »

Surpris, je me levais péniblement de mon herbe si confortable pour suivre mon guide. Mais la personne qui m'attendait me surprit encore plus. Mon oncle. Malgré moi, je m'arrêtais d'un coup, fronçant les sourcils, serrant les poings prêt à frapper si quelque chose ne se passait pas bien, et émis un petit grognement de mécontentement. J'hésitais à m'avancer, mais comme il me faisait signe, je n'eus pas vraiment le choix.

« Petit Jamie ! Pas content de me voir ?»

« ... »

« Écoute, je suis là en tant qu'ami, et pour te prévenir, arce que tu fais quand même parti de la famille. De plus, la dernière fois tu ne m'as pas laissé terminer ma phrase.*voir chapitre un»

« ... »

« Ne te méprends pas. Ce n'est pas parce que tu vis une vis futile, que le monde est futile.»

« Que voulez vous dire ? »

« "Le Mal sera de retour, tel un Phénix qui renaît de ses cendres."»

Je ne peux pas encore comprendre ce que voulait dire mon oncle. Mais sensible et intelligent comme je le suis, j'ai bien deviné une chose. Notre monde va tomber peu à peu dans les ténèbres, je le sens, et mon très cher oncle n'est pas du côté de la lumière.

Fini !
Aaaaaaah ! Quel bonheur !
J'espère que ça ira et que j'ai assez respecté le personnage prédéfini

(C'est dur de jouer les admins sérieuses, avec toi é__è)

Merci beaucoup Janieschou
Hâte que Thazchou vienne faire ses remarques et quelques critiques.
Mwahahahah !
Aaaaaah. J'vais commencer le RP

(Je sais, je sais. Merci du compliment =DD)

Mais euh ...
Pourquoi donc ?

Tharcisse G. Bolheyn a écrit:

Jamie, James ! Pour vous servir ! 941593

Moi je suis le premier membre de la TEAM MITCH
Et, ouais, je suis very very happy !
Mwahahahah

» ZTRW ; pour vous servir princesse.
» Jamie's relationship
» « charlotte james •• 1OO %
» Mlle James Charlotte l l Finish
» Si jamais tu tombes, je te relèverais [James]