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| tristan •• another day writer ; ended | |
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Tristan M. Everwood Étudiant de Serdaigle
Messages : 22 Date d'inscription : 18/05/2009
Feuille de personnage Célébrité Choisie: Rpptz. Animal de Compagnie: Une hulotte aux plumages blanc nommée Lindell. Origine Sanguine: Sang mêlé.
| | | | Tristan M. Everwood Étudiant de Serdaigle
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Feuille de personnage Célébrité Choisie: Rpptz. Animal de Compagnie: Une hulotte aux plumages blanc nommée Lindell. Origine Sanguine: Sang mêlé.
| Sujet: Re: tristan •• another day writer ; ended Mar 19 Mai - 19:40 | |
| (c) live journal
Nom & Prénoms; « À la naissance une grande question se pose alors. Le choix d’un prénom, celui que vous porterez toute votre vie et qui - selon certaines sources et rumeurs d’antan - influence votre caractère. Je ne me suis jamais prêter a répondre a ce genre de question qui n’est pas franchement des plus intéressantes. Cependant, il faut bien que je m’y colle à mon tour. Maor est comme certains ne l’auraient pas remarqué un nom d’origine hébraïque – signifiant astre -, pour autant je le porte par une simple décision de mon père. Quand a mon prénom quotidien, Tristan, il répond à un ordre de littérature dont la figure maternelle adorait lire les écrits, à savoir « Tristan et Iseult - histoire celtique dramatique au passage. Everwood ? je ne pense pas que l’on puisse faire plus britannique que cela. Enfin bref, le principal a était dit il me semble. ».
Âge & Date de naissance ; « Seize années de vie qui ont commencées un 14 décembre 1986. Seize ans à parcourir les méandres et la découverte du monde. La magie est un jeu pour certains et pour d’autres une destinée. Poudlard, domaine magique où tous sorciers bons comme mauvais ont parcourus les moindres corridors de ce dédale typique et digne de l’Antiquité Grecque. J’entame ma sixième année, une année qui ne changera guerre des autres je suppose. ».
Lieu de naissance ; « Londres en Grande Bretagne. ».
Origine sanguine ; « Les temps changent et l’ascendance s’ensuit évidement. Un père provenant d’une famille au sang pur, une mère issue d’un couple de sang mêlé ? La réponse est simple, le sang mêlé l’emporte sans grande surprise. ».
Patronus ; La Hulotte. Comme tout le monde, enfin plus particulièrement ceux qui connaisse le jeune Everwood, le calme est une des qualités dont il fait preuve le plus clair de son temps. A son effigie, la hulotte est un rapace des plus complexe mais aussi des plus calme dont la sagesse peut parfois mettre en déroute. Signe de sagesse et d'optimisme chez les amérindiens, la hulotte nous montre a quels point nos faiblesses peuvent devenir des points forts. Modèle de détachement et de changement radical, ce volatile aux plumage banc d'ordre général, dépeint un aspect quelques sauvage et attachant, qui tout comme Tristan peut se montrer très difficile à apprivoiser; d'où l'origine de son dit patronus.
Baguette magique ; « Le jour où je suis entré chez Ollivanders, ce dernier m'avait prévenu que mon objet magique serait quelques peu différent, de celui qui l'avait vendu à certains. Je ne suis pas persuadé que cela soit vraiment justifié, car il me semble que chaque baguette est unique en son genre. Forgée en bois de Prunellier, et contenant un nerf de ventricule de dragon, et mesurant vingt sept centimètres ; ma baguette ne quitte jamais son propriétaire. ».
Animal de compagnie ; « Certains vous dirons qu’ils sont allergiques aux animaux ou bien tout bonnement qu’ils ne peuvent les supporter. Pour ma part ce n’est pas mon cas. Lorsque je suis partie pour le collège, mon paternel m’a offert une hulotte au plumage blanc. Ce volatile est à l’image de son maître légèrement changeant et quelques peu réservé comme sauvage. Cette chouette répond au nom de Lindell. »
(c) live journal
Descriptions physiologique et psychologique Description Physique; « Se décrire ? Voila une bonne question qui ferait sans aucun doute rire le jeune taciturne. Non soyons sérieux quelques minutes. Tristan est une personne abordant une crinière brune au reflets de bronze. Grand aux yeux noir voir bruns selon les temps, le sang mêlé est fin et musclé. Son sourire ravageur pourrait certainement en éblouir plus d’une a son inssu. Toujours les cheveux en bataille plus ou moins, Tristan est de ces individus qui ont leur propre style et leur propre sens du mot « mode ». Si il était une phrase ou une expression se serait tout bonnement « le naturel prime sur le superficiel ». Le Style vestimentaire de ce jeune ermite répond majoritairement a une critère: décontracte. Il n'aime pas se prendre la tête avec ce genre de question. Il est naturel et simple de ce point de vue. Jeans, chemise, tenue sportive. Néanmoins le jeune homme sait ce mettre sur son trente un que cela est demandé. La tenue réglementaire de Poudlard, un classique incontournable pour le fils Everwood. ».
Particularités ; « Pas vraiment non. ».
Descrition psychologique ; « On va essayer d'être assez explicite au grand maximum evidement. Pour commencer, Tristan est un jeune homme qui a la tête sur les épaules. Il faut dire que le jeune homme a été mis face à la réalité de manière assez prompt et brute. Il est trés réflechit sur chacunes de ses actions et paroles. Il n'est pas du tout le genre de personnes qui viendra vous chercher querelle sans motifs ni preuves. Il aime être discret. Et cela tout le monde que se soit sa famille, ses amis, ses connaissances le remarque. En effet le sorcier est d'un mystère extraordinaire. On a du mal a savoir ce qu'il pense. Son regard ne trahi jamais ses faits et gestes. Il est aussi bon de savoir qu'il d' un effet surprenant puisque le brun est un jeune contradictoire. Il peut passer du sourire a une mine grave sans même que l'on en aperçoive. La vie la rendu extrement battant et optimiste. Il trouve toujours une solution a ses propres problèmes et en fait autant pour les personnes auxquelles il tient. Il prétent être sans sentiments. Mais c'est tout le contraire qui s'impose. C'est une carapace de froideur qu'il s'est forgé pour que personne ne puisse l'atteindre. Calme et posé, le Everwood est aussi un grand déconneur de première. S'amuser ? Et comment ! Premier mot sur sa liste. Du point de vue de ses défauts, le jeune homme est tres jaloux. Il reste calme mais on voit bien sa jalousie. En plus de cela, Monsieur est obstinée et bougon. Il ne demordra pas de son idée. Et si il a tort il n'ira pas s'en excuser enfin encore une fois cela dépend de la personne présente en face de lui . Fierté mal placé ? Vous sonnez à la bonne porte. ».
Passions ; « Comme on dit tous les goûts sont dans la Nature. Evidement Tristan est de ce qui n'aime pas grands choses. Cependant, on ne peut pas nier, on apprécie plus ou moins à grande échelle une ribambelle d'activités. Et qui dit activités dit Quidditch. Le Everwood en pratique depuis son plus jeune age et s'avert être très doué. Puis vient ensuite l'art soutenu de la musique. Jouant du piano depuis sa plus tendre enfance, le jeune taciturne est un fier adepte des grands musiciens des temps modernes tels que Mozart, Berlioz ou encore Bach. Les filles ? A vrai dire, il n'en jamais fait mention, pourtant il faut avouer qu'il en trouve quelques unes charmantes. Les livres ? Les vieux livres de littérature anglaise et française l'on toujours passionné, allez savoir pourquoi et vous m'en direz tant. Venons en, aux choses sérieuses et aux sujets fâcheux. Tristan, déteste les hypocrites et comme on dit « la meilleure des armes c'est l'ignorance », donc ils les ignorent. Les ennuis, ce n’est pas son truc non plus mais ne le cherchait pas trop non plus, les représailles pourraient être assez amères. ».
Plus grandes peurs ; « Ma peur est enfouie comme encrée au plus profond de ma mémoire afin qu’elle ne puisse plus montrer sa nature réelle. Mon épouvantard réside dans la scène de mort de ma mère, et bien que cela remonte a loin, la revoir me rendrait encore plus hostile et impassible a autrui. »
Dernière édition par Tristan M. Everwood le Jeu 21 Mai - 15:02, édité 2 fois | |
| | | Tristan M. Everwood Étudiant de Serdaigle
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| Sujet: Re: tristan •• another day writer ; ended Mer 20 Mai - 17:11 | |
| Histoire •• Prélude.
Toutes les nuits il entend sa voix. Toutes ces nuits où le plafond étoilé parsemé de constellations répond présent à ses souvenirs. Tous ses souvenirs se retrouvent en ces soirées de désespoir chimérique, de calme sans douleur et de tristesse passagère. Prostré a la fenêtre du salon, il tend a observer la lune bien trop éclairante pour son regard d’un bleu azur. Et pourtant, il se bat contre cela pour répondre à un sommeil de repos véritable. Ce dernier résultat d’un accident volontaire n’avait pas fait taire sa famille, bien au contraire. La muse de son enfance n’était plus et la chanteuse de son savoir l’avait laissé pour compte, seul face à une vie sans scrupule. L’eau est un long chemin où son liquide - semblable à la vie – coule, coule et s’écoule encore. Fait de force et de courage téméraire, l’Astre Everwood avancera mais n’oubliera guerre le salut de son inspiration disparue. •• Le pacte de l’innocence ; Un lien futile mais subtil. « Si l'on veut s'approcher des enfants, il faut parfois devenir enfant soi-même. ». Logement de la famille Everwood. 5 juillet 1992. Londres, Grande Bretagne. La réalité ne faisait guerre avancer l’imagination d’un enfant. Frein de rêves et d’illusions, elle gardait en elle une part de souffrance et d’aliénation digne des plus grandes pièces de théâtres des temps anciens telle que Phèdre ou encore Œdipe. Toutes ses histoires éponymes couchaient sur papier par de grands tragédiens, ne révélait ni plus moins les plus vastes et courtes anecdotes d’une simple vie en des temps repliés et lointain. Un bruit saccadé, des pas rapides se faisait entendre dans le corridor sobre qui menait à la pièce principale. La résonance de cette démarche représentait sans aucun doute un petit bonhomme, abordant une chevelure en bataille de couleur châtain et d’un regard bleu dont peu d’individus auraient pu posséder. L’enfant à l’allure svelte et sage, ouvrit avec un fracas assourdissant la double portes qui donnait sur le salon aux motifs d’une décoration typiquement grecque, où la comparaison d’un palais de l’antiquité n’avait aucunement sa place. Teintes vives et claires, meubles doux et sculptés en bois de pin mais aussi de hêtre, la salle était très clairement dominé par un imposant instrument à cordes frappés. Le piano qui trônait prés de la fenêtre, était un symbole d’héritage de la famille maternelle depuis des générations qui sans aucunes surprises laissait des prédispositions à ce que la descendance en ait un jour l’usage à son tour. Soudain, tendrement et affectueusement, une voix légère et cristalline émana de la pièce déserte.
LA MUSE – « Allons Tristan ne soit pas si pressé. ». Son rire de cristal embarqua son fils dans un monde posé ou là quiétude était le maître mot. Assise sur le banc qui siégé juste devant le piano d’ébène, la mère fit signe a son fils de s’avancé vers elle, afin qu’elle puisse le voir. Sourire abordant ses lèvres rosées, Tristan n’eut pas besoin de se faire prier pour rejoindre les tendres bras sécurisant de la figure maternelle.
LA MUSE – « J’ai appris que tu as été un garçon bien courageux ce matin. ». L’ASTRE – « Je ne vois pas en quoi défendre les autres peut être courageux ?! ». LA MUSE – « Ton comportement et ton attitude trouve cela naturel n’est ce pas ? ». L’ASTRE – « Oui évidement, je ne pouvais pas laisser Marianne se laissait insulter de sang de bourbe … Les gens ne sont pas vraiment d’une gentillesse naissante. ». LA MUSE – « Exactement, et c’est pourquoi les mœurs changent Tristan, grâce à quelques personnes qui agissent ainsi. ».
Tête faisant un léger mouvement circulaire, le jeune Everwood toisait d’un regard emplis de sagesse enfantine l’arbre fleurissant qui au gré de la brise du vent laissait s’envoler ses fines pétales roses et blanches. L’été venait de commencer et les cruautés apparaissaient de plus en plus dans le monde des sorciers telle une chaîne de mots sans fin et lugubre. Manifestant une envie soudaine de jouer du solennel instrument de ses ancêtres, le jeune mystérieux s’installa aux cotés de la sorcière travaillant pour le ministère et dont le devoir allez bientôt la rattraper. Sarah – ainsi se nommait elle – expliqua de manière simple et profonde la façon dont chaque touches d’ivoire possédait son propre son et que chaque gamme devait être parfaitement su pour déchiffrer les codes de partitions anciennement rédigés comme innovatrice. Après quelques heures d’exercices acharnés mais enrichissants, le fier sorcier se mit à jouer en concert avec son professeur un morceau de Mozart. Une complicité épatante pour un novice qui ne finirait jamais d’étonner ses proches. La musique produite était lente et rythmée, douce et apaisante pour des âmes fatiguées et lassées d’un quotidien inchangé. Elle reflétait le parfait secret d’un pacte entre mère et fils, en d’autres termes, un lien toujours existant et invisible a celui qui voulait croire en l’espoir d’un renouveau. Un nouveau souffle de vie, une autre vie au delà d’un monde rêvé.
La dernière note achevée, le prodige se tourna vers l’optimiste mère nourricière de son nouveau savoir en peignant sur ses lèvres de gamin, un sourire ensoleillé et sincère. Le lui rendant a son tour, elle entendit la voix plus affirmé de son aîné, Samuel.
SAMUEL – « Tristan, tu viens joué une partie de quidditch ? » Avait il crié du dehors par la fenêtre ouverte. Ne pouvant guerre qu’optait pour une réponse favorable, le cadet de la famille se leva en courrant vers la porte de sortie et glissa dans une voix murmuré.
- « Merci. ». •• Quand la brise emporte l’ensemble du puzzle ; Le hasard est le fin mot de l’histoire. « Le hasard est le plus grand romancier du monde; pour être fécond, il n'y a qu'à l'étudier. ». Tout semblait calme en cette nuit de décembre, un jour que tout enfants du monde attend avec impatience, ce jour où l’imagination d’un être innocent ne demande qu’a déborder de rêves et généralement selon les croyances, le fameux jour où le fils prodige devait soit disant avoir vu le jour, un vingt cinq décembre. Cette date, un certain petit garçon de neuf ans l’attendait avec impatience. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il n’avait pas eut le loisir de voir ses propres parents de toute l’année, puisque leurs travail respectifs les afférés tous deux ailleurs et que par devoir ils ne pouvaient se désister. Le garçonnet venait de fixer la dernière boule de noël sur le grand et sublime sapin verdoyant qui trônait au milieu du salon type européen de la demeure familiale des Everwood. Fière de son travail entreprit, le mignon se tourna ensuite vers son grand père, Ezékiel qui affichait un sourire fier et aimant. Ce dernier ne se posait pas plus de question face à ce que son petit fils allait faire par la suite. En effet le brun aux reflets dorés alla chercher un étui fin orné d’un cuir noir et serré. Assis sur le sol, le gamin l’ouvrit pour en sortir un instrument, celui qui la rapprochait le plus prés possible de sa tendre mère, Sarah. C’est elle qui l’avait poussée à croire au bien fait de la l’art musical et de croire qu’en travaillant dur tout irait bien mieux. Le jeune prodige posa doucement l’engin à corde sur sa frêle épaule d’innocence. Saisissant l’archet Tristan fredonna quelques sons pour ensuite se mettre à jouer un morceau de Bach, un compositeur dont la figure maternelle murmurait les louanges à son sommeil lorsqu’il n’était encore qu’un nourrisson. L’ancien Auror ferma les yeux se laissant guider par la musique mélodieuse que produisait l’instrument à cordes ; lorsque quelques instants plus tard l’air de musicalité se stoppa nette. Des pas dans l’entrée se firent entendre. Des pas lourds, qui couinaient sûrement du a la neige qui avait fondue, se fit entendre à l’entrée de la maison. Le visage de l’inconnu s’affichait enfin dans la lueur éclairante des bougies et des lumières de la demeure. Là, devant eux se dressait James Everwood, le père des enfants et le fils de l’ancien Auror. La mine peu amène, l’Astre distinguait parfaitement le visage mélancolique et malheureux de son père. Le jeune adolescent n’étant pas dupe rompit le silence pesant qui régnait dans la pièce principale.
TRISTAN - « Père pourquoi affiche tu une mine triste ? Alors que ... » Le père ferma les yeux quelques instants avant de se rapprocher de son propre père qui compris tout de suite ce que son fils allez s’apprêtait à dire au jeune garçon de neuf ans. Ce dernier tenait toujours de ses minces doigts et bras, l’archet et le violon auxquels elle tenait temps. Le paternel avait entre ses mains, les vestiges et les affaires de ce qui restait de son épouse, Sarah. Le brun ne vacillait aucunement son regard de petit gamin perdue et emplis de curiosité. Certains disent que la curiosité est un vilain défaut et bien à cette époque là, le téméraire intellectuel aurait préféré qu’on ne lui avoue jamais la disparition de sa mère et ce dans d’étranges conditions.
JAMES – « Ecoute mon grand. Quelques fois il se passe des évènements et des choses dont nous ne maîtrisons pas du tout la candeur comme le danger. Et parfois les êtres humains en souffrent énormément et ne savent plus où est le chemin. Ta maman ne seras plus de ce monde mais de celui du ciel. ». Tristan n’avait rétorqué mot, et sa petite frimousse d’ange blanc et ornée d’un sourire angélique avait totalement disparus au profit d’un visage fermé où seul les larmes versées auraient pus être la clef d’ouverture. Hors il n’y aurait plus jamais d’ouverture vers un nouveau sourire sincère, tant qu’il ne voudrait pas le montrer. Laissant tomber l’archet puis l’instrument de bois vernis, le sorcier en herbe marcha telle un « zombie », dans la gigantesque habitation où il avait passé le plus clair de son enfance. Arrivait dans la grande bibliothèque de son aîné, le battant s’installa devant le magnifique piano à queue aux touches couleurs d’ivoires. Frôlant le clavier froid, ses doigts fins se mirent à jouer un air de Mozart, celui qui autrefois était celui que sa mère avait tenté avec succès de lui apprendre ainsi que celui qu’elle lui fredonnait a l’oreille pour trouver le sommeil. Un sommeil qui avait emportait l’effigie maternelle, dans un paradis où sa plume avait été plus légère que tout le reste face au jugement dernier. A pas mesurés et mélancolique, Samuel franchis le seuil de la bibliothèque et vint s’asseoir aux cotés du gamin qui ne souriait plus. Les mains fines de son frère aîné allaient parfaitement en accord avec le piano noir qui trônait au sein de la pièce remplis de livres en tous genres. Les quatre menottes de la fraternité, jouaient d’un parfait accord de notes dont la mélodie raisonnait dans l’enceinte du domaine où quelques années plutôt, le doux rire et l’innocence même psalmodiait elle aussi cette partition de grand musicien. Sarah, serait désormais en haut à surveiller sur ses descendants.
Dernière édition par Tristan M. Everwood le Jeu 21 Mai - 15:29, édité 7 fois | |
| | | Tristan M. Everwood Étudiant de Serdaigle
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| Sujet: Re: tristan •• another day writer ; ended Mer 20 Mai - 17:11 | |
| •• La passé est révolu ; Sagesse & courage t'accompagnes. « On aime à deviner les autres, mais l'on aime pas à être deviné. ». De nos jours. Domaine de Poudlard.Le regard vrillant sur chaque mouvement des branches d’arbres qui se balançaient de gauche vers la droite puis de l’ouest vers l’est, le jeune homme aux reflets d’or se remémorait toutes ses petites aventures de ces derniers mois, depuis son entrée au collège de sorcellerie. Les temps avaient changés, le temps en lui-même ne cessait de s’écouler et de s’écouler encore telle la magnificence d’une cascade digne d’un des plus beau lagon du monde. Indescriptible et louable, Tristan tenait en main - encore et toujours - ce livre de Platon qu’il ne cessait de lire et relire. A force du temps, ce vieux manuscrit - hérité de son arrière grand père - aux louanges ancestrales, dépeignait un manuel dont les pages avaient jaunis avec le temps. Cette œuvre couchée sur papier avait l’illustre manière de démontrer que la mort et la vie était instinctivement liées d’une certaine manière. Ainsi son auteur émettait l’idée résolu que lorsqu’un enfant venait au monde, cela était une souffrance et que tout à son contraire sa fin sans fin sans précédant était une simple délivrance. Où pouvait bien le mener cette thèse dépourvus de sens, surtout pour un simple individu n’étant guerre intéressé ? Le questionnement n’avait pas lieu lorsqu’on parlait de réflexion réfléchit à Tristan Everwood. Non, la réponse a cette question, l’amenait à penser a cette relation anonyme et sans visage, car s’il retranscrivait sur un bout de parchemin des phrases emplies de métaphores sincères et pensives, il n’aimait aucunement se dévoiler à autrui.
Et pourtant. La douce entente entretenue par le biais de simples missives laissait déjà sous entendre et apparaitre qu’il se délivrait de son voile de son mystère, mais il n’en était pas vraiment encore le cas. Chaque renseignements qu’il échangeait avec sa correspondante - avec le temps il avait vite compris qu’elle était de nature féminine - lui apportait un peu plus de connaissance sur son identité. Elle était son énigme, pas vraiment, mais manière de parler pour un taciturne bien trop imaginatif et écrivain en herbe.
Assis sur le rebord d’une fenêtre de la tour de sa maison, le vaillant érudit se redressait tout en observant la couleur nacre et gris allante d’un ciel sans étoiles, ornée de nuages a la couche épaisse. La pluie ne ferait pas attendre sa présence, et rien que pour cela l’ange rigolard rebroussa son chemin, vers l’intérieur de la tour des oiseaux érudit et chanteurs du domaine e Poudlard, là ou quelques années plus tôt sa défunte mère, venait elle aussi suivre le cursus scolaire. Mains dans les poches, l’ermite solennel vint parcourir les marches vers la sortie de la commune. A peine un pied vers le portrait, qu’une bande de jeunes filles issue de la première année, s’esclaffèrent a lui montrer leurs plus beau sourire. Loin de s’attarder sur leurs attentions ennuyeuses et dont il ne remarquer strictement rien, Tristan se laissa guider par son envie soudaine de répondre à son « inconnue », son secret poétique.
Couloirs désert, silence platonique, bruit de pages qui se froisse sur la pliure d’un bouquin, chuchotis prémédités, rencontre silencieuse ; la bibliothèque du cinquième étage était devenue leur recueil d’échanges. Certain de ne pas se faire remarquer, le jeune mystérieux poussa doucement les portes du dédale littéraire, endroit de sa solitude première. Le Everwood parcourus chaque rangée de la vaste salle littéraire où régnait un climat d’innocence et de travail parfait tel un violon s’accordant avec les mouvements vifs de son archet. Le brun s’arrêta droit au fin fond de la pièce, prenant place en s’appuyant d’un léger appui contre le mur de brique ancien, couleur de nacre. Une plume fine à la main, Tristan se mit alors à sa réponse - dont vous pourriez lire quelques passages -.
« Le temps n’est guerre encore à ce que je ne cesse de t’écrire. La force dont je fais usage pour te répondre n’est pas une corvée mais un plaisir dont je te réserves les attraits. La confidence de nos écrits est un « phénomène » qui me surprend, moi l’ermite solitaire et obstinée a mes heures. A de nombreuses reprises l’envie de comprendre l’humain m’est passé par l’esprit, tel une tempête qui est juste de passage dans une ville complètement déserte. La question de l’humanité chez l’homme n’est pas non plus ce qui revient le plus dans son comportement. Non bien au contraire, l’homme – au sens d’une généralité banalisée s’entend – ne se représentera que seul dans une contrée. L’assouvissement de sa victoire propre et de ses intérêts personnels prendra toujours une énorme ampleur à ses yeux. Il est vrai que tout humains, normalement constitué ne prétendront le contraire, ou bien il ment ? L’action véridique ne sera que le revers de sa médaille. L’humain ne prend conscience de ce qui importait le plus dans sa vie, le jour il s’avers le perdre.
J’espère encore que tu sauras, une fois de plus déchiffrer mes longues et impossible énigmes parfois complètement dérisoires. Les lignes de ta plume, ne doivent aucunement avoir raison de tes soudaines interrogations. Sur ceux que l’histoire des ancêtres te donnes le souvenir du pouvoir de la naissance de la magie. ».
•• Epilogue.L’instant présent ne vaut aucunement tout l’or du monde ; Artiste téméraire et fataliste.« Le destin pose deux doigts sur les yeux de l'homme, deux dans ses oreilles, et le cinquième sur ses lèvres en lui disant : «Tais-toi.» ». Des regards furtifs, des messes basses, des souffles de joies et des jalousies maladives. Teneur en portée du monde, mélange sucrés, épices salées. La cour de Poudlard recouvrait plus de la moitié des élèves, a cette heure où le jeune « robin des bois de la génération soixante » franchit l’entrée. Le temps clément en cet automne plutôt plaisant, laissait l’imperturbable sorcier pensif et bien déterminée a finir un devoir d’astronomie, matière pour laquelle les meilleures notes possible triomphées sans grande surprise de sa part. Marchant doucement mais surement, Tristan pris la direction du pont couvert où l’attendait l’espèce la plus douce du monde : la hulotte. Ce rapace que l’on associé aux apparences du changement de la détermination, était devenu au fil du temps l’éternel compagne du prodige. Porteur de ses révélations écrites, un hululement se fit entendre parmi les hauteurs paisible du ciel d’un bleu limpide et quelques peu nuageux. S’avançant au bord du pont, le volatile vint se poser sur l’avant bras de son maitre. Abordant un plumage d’un blanc feutré semblable a la neige cotonneuse d’hiver, la chouette comme a son accoutumée vint querir l’extrémité des doigts de l’Everwood, habitude entre ces deux êtresqui representait juste une pure histoire de tendresse. Une tendresse irrévocable et un lien solide. S’envolant de nouveau vers d’autres horizons autre que le collège de sorcellerie, l’oiseau chanteur ne formant qu’un point noir disparu dans un ciel d’avenir incertain. « De nouveau je te retrouves. Et encore une fois la valeur de ton courage et la bravoure de ton esprit résonne dans mon cœur … L’astre hardis, l’astre réaliste. ». La Muse. | |
| | | Tristan M. Everwood Étudiant de Serdaigle
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| Sujet: Re: tristan •• another day writer ; ended Jeu 21 Mai - 15:41 | |
| Je pense avoir finit =) S'il manque quoi que se soit j'editerais sans soucis (:
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| | | Tharcisse G. Bolheyn Admin & Étudiant de Serdaigle
Messages : 269 Date d'inscription : 07/05/2009 Age : 30
Feuille de personnage Célébrité Choisie: Gaspard Ulliel, c'est évident (a). Animal de Compagnie: Une chouette brune aux reflets roux prénommée Jade. Origine Sanguine: Sang mêlé.
| | | | Tristan M. Everwood Étudiant de Serdaigle
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| Sujet: Re: tristan •• another day writer ; ended Jeu 21 Mai - 18:09 | |
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